Caractère Calculateur M. Je sais toutCurieux Maladroit Solitaire

Physique Poids PlumeStyle 1er de la Classe Faible Mignon

Objets en poche : Lunettes de vue / Briquet & Clopes / Bassine / Javel / Eau / Biscuits
Habits : Blouse blanche / Costume en tweed marron / Parka à fourrure
Identité : Miguel De Hayos / Scientifique

Il marchait dans la fraîcheur de la nuit, les mains dans les poches. Sans un regard en arrière. Sans un regard pour elle. Elle babillait de façon incessante, emplissant l'air de phrases inutiles. Un pur monologue. Il essayait de ne pas écouter. De se concentrer sur autre chose. Sur les étoiles ? Sur le vent froid ? Sur n'importe quoi, mais pas sur le flot de paroles qui sortaient de la bouche de la jeune fille. Elle ne l'avait pas lâché depuis leur sortie de la conférence. Insistant pour parler avec lui. Intéressée par son travail, disait-elle. Il en doutait fortement.
Il regarda devant lui. Loin là-bas, le laboratoire de la ville jetait sa haute stature vers le ciel. Il devait se rendre là-bas. Avec ou sans elle. Il espérait pouvoir lui fausser compagnie, à elle, à un moment où à un autre. Et se réfugier dans la science. Au moins, elle, elle ne babillait pas. Il ne comprenait décidément pas pourquoi elle s'était liée à lui comme ça. Peut-être cela avait-il un rapport quelconque avec les sentiments dont elle ne cessait de parler. Mais il n'écoutait pas.

Il s'arrêta quelques dizaines de mètres plus loin. Elle s'immobilisa à ses côtés. La route, gigantesque serpent en mouvement se dressait devant eux comme une barrière. Aucun passage à l'horizon. Les voitures filaient telles des flèches sur le bitume, leurs phares dansant un étrange ballet aux couleurs chatoyantes.

« Génial ! Bon, monsieur le petit scientifique, trouve une idée pour traverser. Allez, on n'a pas que ça à faire. Je croyais que tu voulais aller à ce fameux laboratoire !»

Il ne put s'empêcher de faire une grimace lorsqu'elle tourna la tête de l'autre côté. Vraiment, pourquoi est-ce qu'elle le collait comme ça ? Comme si le courant avait pu passer entre eux ! Impossible, décidément ! Quand le regard de la brune revint sur lui -un regard si particulier, il l'avait noté-, il afficha un petit sourire forcé : « Tu sais, je ne m'appelle pas Mc Gyver. Je ne suis pas magicien ou quoi que ce soit de ce genre et... », il remit les mains dans ses poches et haussa les épaules : « je n'ai pas de solution miracle... »

Il jeta de nouveau un long regard pensif à la silhouette du laboratoire qui semblait l'appeler silencieusement, et fini par se résoudre. Il allait devoir se montrer très patient et gentleman ce soir. Il se tourna vers elle et murmura comme à regrets : « Faire un détour pour trouver un endroit ou traverser serait sans doute trop long. Tant pis pour le labo'. Tu veux manger un morceau quelque part ? » La brune lui adressa un immense sourire, et repris ses babillages comme ils se remettaient en marche.

Une légère fumée s'échappe du tube à essai, et le liquide qu'il contient prend rapidement une teinte bleuâtre. Le jeune homme sourit, agite doucement le liquide pour l'homogénéiser. A côté de lui, assis sur une chaise, un autre garçon trépigne : « Tu vois, tu vois, j'avais raison, non ? ». Il ne peut s'empêcher de soupirer, un peu agacé par l'agitation du plus jeune, et réplique, un peu vertement sans doute : « On en sait pas assez pour émettre des hypothèses valable, il faut plus de contenu, sinon ce n'est pas crédible... ».

Le plus jeune, hein... Plus jeune qui le dépasse d'une bonne tête lorsqu'il se lève, un air un peu irrité sur le visage : « Tu pourrais être plus enthousiaste, grand frère ! Ça doit pas être drôle tous les jours, pour tes collègues ! ». Ignorant la remarque moqueuse, le jeune homme se concentre de nouveau sur son expérience. Le résultat, capital pour ses recherches, doit être fiable à 100%. Pas le droit à l'erreur.

Dans son dos, la voix a repris, un peu plus amère : « Je suis sûr que c'est depuis que tu la fréquente que tu es comme ça ! ». Il ne peut s'empêcher de se retourner, cette fois. Nouveau soupir. Sa main se lève et ébouriffe les cheveux roux, tandis qu'il se compose une expression réussissant l'exploit d'être à la fois blasée et ironique : « Allons allons, qu'est-ce que tu racontes ? Tu te fais de ces idées, je te jure ! Et arrête de tout le temps te plaindre, t'as quel âge franchement ? ». Le rouquin, pour toute réponse, lui adresse une moue boudeuse qui le fait rire, avant de quitter la pièce. Lorsqu'il se retourne, il découvre avec ravissement que le liquide à viré au rose, dans le petit tube.

La petite main serre la sienne. Avec ferveur. Comme un signe. Comme pour dire « Je suis là, allons-y ». Il sourit à la petite silhouette, met un doigt devant sa bouche pour lui intimer le silence, et se dirige à pas de loup vers la porte de la chambre, entrouverte. La moquette étouffe le son de leurs pas, et ils atteignent leur objectif sans difficulté. Il se penche, écarte une mèche de cheveux pour chuchoter dans l'oreille de la fillette : « Tu es prête ? N'oublie pas, observe moi bien, chère assistante, la prochaine fois, ça sera à toi ! ». Il pousse doucement la porte de la chambre. Là-bas, sur le lit, dans la pénombre, une silhouette allongée. Qui se repose paisiblement. Le souffle du dormeur s'élève, régulier, dans l'espace de la pièce. Ils s'approchent du lit sur la pointe des pieds, et il sent la petite main secouée par des tremblements. « Qu'est-ce qui t'arrive ? Tu as peur ? » chuchote-t-il, sans se retourner. Un éclat de rire étouffé lui répond, qui le fait sourire à son tour. Non, bien sûr qu'elle n'est pas effrayée, et puis c'est elle qui lui a demandé tout ça, n'est-ce pas ? Lui, il ne fait que tester des petites choses. Enfin, ils sont au chevet du lit. Des cheveux bruns s'étalent en pagaille sur l'oreiller, encadrant un visage fin. Il fait un clin d’œil à la fillette, puis se penche sur l'endormi, pince son nez entre deux doigts, avant d'appliquer son autre main sur la bouche entrouverte. Quelques secondes passent. Allez, qu'on y passe pas trois heures, songe-t-il en s'assurant que la petite soit bien attentive à ses faits et gestes. « Tu vois, c'est comme ça qu'il faut faire ! » s'exclame-t-il enfin, lorsque le dormeur s'éveille en sursaut, se débattant contre le manque d'air. La fillette applaudit, ses yeux pétillants de malice, tandis que lui quitte la chambre en courant, sous les insultes du jeune homme brun, désormais bien réveillé.

Le téléphone sonne, le faisant sursauter violemment. Il lâche son bécher, qui vient se briser sur le plan de travail, éclaboussant sa blouse d’une multitude de petites tâches d’un vert malsain, qui commencent à grignoter le tissu. Il se débarrasse du vêtement en vitesse, évitant tout contact avec la substance, tandis que la sonnerie se répète, insistante. Il ne peut s’empêcher de grogner de frustration. Tous ces efforts perdus ! Une expérience toute entière à recommencer. Un coup d’œil au réveil achève de le mettre de mauvaise humeur. Trois heures du matin ?! Qui que ça soit, il a intérêt à avoir une bonne excuse pour le déranger à une heure pareille en sabotant son travail au passage. Il décroche le combiné d’un geste sec. « Professeur Miguel De Hayos, qu’est-ce qui se passe ? ». Oui, parce que s’il n’y avait rien de grave, on ne l’appellerait pas sur sa ligne personnelle, quand même ! « C’est moi, j’ai de mauvaises nouvelles. ». Il grimace. Voilà une voix qu’il n’aurait pas voulu entendre avant encore un bon moment. Voir pas du tout. Il grince des dents avant de répondre d’une voix froide : « Vous me devez une blouse. Et expliquez-vous. ». A l’autre bout de la ligne, la voix est aussi froide et détachée que la sienne. C’est peut-être bien ce qui l’horripile au plus haut point. « On a perdu le sujet n°5, elle n’a pas supporté le traitement. ». Oui, en effet, pour être une mauvaise nouvelle, en voilà une mauvaise nouvelle… Il se laisse tomber sur l’un des fauteuils de son bureau. « Qu’est-ce qui s’est passé exactement ? ». Un long silence, des bruits de feuilles froissées, des voix indistinctes. Il s’impatiente, son talon frappant la cadence d’une musique inaudible. « On vous enverra le rapport d’autopsie dans la matinée, on y travaille, c’était juste pour vous prévenir. Revoyez le produit. » Revoyez le produit ? Facile à dire, tiens ! Il se prépare à raccrocher, semble soudain se rappeler de quelque chose, crie presque dans le combiné : « Et le sujet n°6 ?! ». « Pour l’instant, il tient le choc, mais je crains que la disparition du sujet 5 ne l’affecte, on va le surveiller de près. ». Et puis plus rien que la tonalité vide d’un téléphone raccroché. Il lâche l’appareil, s’appuie contre le dossier. Un long soupir lui échappe. Sale nuit, décidément. Il songe qu’un petit voyage là-bas ne sera pas de trop. Pour vérifier par lui-même ce qui se passe…

« La rhinite allergique est une affection médicale bénigne secondaire due à une hypersensibilisation face à une substance étrangère dénommée allergène... »

Le documentaire audio tournait en boucle de fond. Il s’agissait du dernier essai de la compagnie pour présenter les démarches nécessaires aux expérimentations. Il avait entendu ce discours déclamé d’une voix artificielle et monocorde un nombre incalculable de fois. Quelqu’un avait du oublier d’éteindre le lecteur. En temps normal, sans doute aurait-il fait le tour de son bureau pour mettre un terme à cette mélodie agaçante. Mais il ne s’agissait pas du temps normal.

Il s’agissait d’une phase expérimentale. Particulièrement concentré, il tenait de ses mains gantées une seringue remplie d’une substance incolore. Il ouvrit avec précaution l’une des cages en verre du laboratoire et en sorti un rat blanc de bonne taille à qui il administra le traitement sans tenir compte de ses couinements sonores. Une fois l’animal reposé dans sa cage, il prit quelques notes sur son calepin et jeta un coup d’œil suspicieux au rongeur qui tentait vainement d’attaquer les parois transparentes à grands coups de griffes.

« Son comportement est inquiétant. Les rats ne sont pas des espèces si belliqueuse d'ordinaire... » lança-t-il à la ronde.

Il fut surpris par le silence ambiant puis se souvint qu’il était à présent seul dans le laboratoire, que son collègue avait été muté. Il déglutit, soupira et reposa son attention sur le rat.

Il ne pu retenir un cri de stupeur. L’animal semblait prit de palpitations et avait sensiblement doublé de volume. Fébrile, il regardait l’étrange transformation avec panique lorsque la bête retomba aussi soudainement qu’elle avait commencé à muter. Morte.

« Bien. Très bien. Nous avons un problème… » souffla-t-il sans pour autant détacher son regard de la créature inanimée.

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/!\ H2O est arrivée lors du second jour sur la chronologie globale de la Ville.

1er Jour (journée en cours)

▬ Tranche Horaire d'arrivée : :noir:00h-02h
▬ Tranches Horaires jouées : 00h-02h; 02h-04h; [• 04h-06h]; 06h-08h; 8h-10h; 10h-12h (- 12h)
▬ Heures de Sommeil : 2
▬ Souvenirs Trouvés: 2 Nocturnes (+12 h); 1 Nocturne Partagé (+3h); 3 Diurnes (+6h)
▬ Total : 72-12+12+3+6 = 81h

Histoire personnelle

H2O, malgré son apparence d'enfant était vraisemblablement un scientifique plutôt doué et qui travaillait avec acharnement. Sa vie ne tournait qu'autour de ça et il ne jurait que par ça - ce qui n'a pas beaucoup changé. Il semble qu'il soit proche du monde des adultes avec lesquels il semble être égal. Il se fait même courtiser. Selon toute vraisemblance, il aurait même eut une compagne, probablement Bambi.

Histoire de famille

Au fil des souvenirs, le cercle familiale semble se composer de pas mal de monde de tout âge et tout sexe. Pour le moment, le seul lien avéré est celui de son petit frère rouquin, qui n'est autre que Clow (Régis). Mais il semble également avoir une petite soeur, Dinosaure (Julia), des plus adorables qui lui sert d'assistante et un second frère, Vinci (Flavio) qu'il n'a aucun scrupule à martyriser. Il semble en tout cas que la fratrie soit proche et soudée. A côté, une jolie brune semble avoir jeté son dévolu sur lui sans s'en cacher.

00h-02h / Tu veux une clope ? ft Opium

Il se réveille dans un train. En sortant de ce dernier, il fait la rencontre d'une femme à la poitrine opulente. Même s'il ressemble à un petit garçon, il fait des remarques beaucoup trop adulte et se comporte comme eux, ou presque. Le courant a du mal à passer entre eux, d'autant que la femme est armée et a de la drogue dans son sac. Mais finalement, ils décident de partir dans la ville, pour comprendre ce qui leur arrive.

/ Comme un poisson dans l'eau, t'as l'air d'une poule sur un mur ft Opium

Ils ont déambulé peu de temps avant de temps avant de finalement arriver devant un fleuve. De l'autre côté, une tour étrange. L'enfant est plus qu'intrigué par le lieu, mais il est trop occupé à se quereller avec la fille pour réfléchir. Il continue à se comporter bizarrement et semble en savoir beaucoup, même s'il est peu adroit. Alors qu'ils se disputent une énième fois, une sphère se pose devant lui et il trouve son premier souvenir, où les choses se complexifient {c.f Souvenir 1}, puisque malgré son jeune âge, une adulte lui fait du charme. Hélas, pas le temps d'en savoir plus que les ronces les poussent vers l'eau déchaîné et il tombe à l'eau, suivit par la fille qui le sauve.

/ Ne t'inquiètes pas, je gère à peu près. ft Opium

Sauvés, ils arrivent dans le sous-sol à demi-inondé de la tour. Les choses s'améliorent entre eux puisqu'ils se doivent, d'une certaine façon, la vie. Malgré cela, H2O se méfie encore d'elle et espère pouvoir s'en séparer dès que possible. Mais il l'aide quand celle-ci se blesse le pied. D'ailleurs, lorsqu'une sphère apparaît pour elle, ils la touchent ensemble et il voit son souvenir, mais il cache l'information, préférant se mettre tous les atouts de son côté {c.f Souvenir Opium}.

02h-04h / Tu veux une clope ? ft Opium

Ils montent finalement là où l'escalier les amène. Ils en profitent pour se donner des noms, Opium pour elle, H2O pour lui. Une fois en haut, ils n'ont pas le temps de voir beaucoup de choses. Enfin, lui surtout, vu qu'il se plonge à nouveau dans ses souvenirs {c.f. Souvenir 2}, où il se découvre un petit frère... Un peu plus que grand lui.

• 04h-06h /Roupillon

Forcé au sommeil par la Ville, il profite de son souvenir avant de se réveiller à des milles du lieu où il se trouvait.

06h-08h / Un mauvais scénario ft Matt, Mirage & Stargazer

Il se réveille sur le sol d'un gymnase. Opium a disparu et il se retrouve avec trois inconnus. Rapidement, H2O décide de ne pas s'attacher à eux et de les utiliser autant que possible pour en savoir plus sur la Ville, puisqu'ils semblent totalement hors de la réalité. Les relations entre Matt et lui n'ont même pas eut le temps de commencer qu'ils se détestent déjà cordialement. H2O décide de s'éloigner d'eux un peu pour aller rejoindre la piscine. On lui offre alors à nouveau l'occasion de renouer avec le passé, ce qu'il fait avec joie {c.f Souvenir 3}. Mais il le laisse de côté pour continuer l'exploration.

/ Quelqu'un veut faire trempette ? ft Stargazer & Mirage

Abandonnés par Matt, le trio s'engouffre dans la piscine. La rencontre avec les batraciens vire au cauchemar quand ses dernières mutent pour devenir un monstre sans forme qui s'attaque alors à Mirage. Secourue par les deux autres, c'est un peu abasourdis qu'ils partent au compte-goutte, laissant H2O seul derrière, avec un souvenir plutôt amère mais qui lui dévoile le plus important, son nom. {c.f Souvenir 4}.

08h-10h / Un bon lacet est un lacet invisble ! ftMirage et Vinci

En s'enfuyant du complexe, H2O, fraîchement renommé Miguel rejoint Mirage, qui est en compagnie d'un homme invisible. Ce dernier s'est nommé Vinci et souffre d'une malédiction le rendant complètement invisible. Après quelques piques entre Mirage et Miguel, le trio décide de partir à la recherche d'un supermarché, pour se revêtir et trouver des denrées.

/ L'homme invisible, le plombier et l'appât à grenouilles ft Mirage & Vinci

Le trio découvre le centre commercial sans mal et fini par trouver le supermarché. Jusque là, tout ce passait à peu près bien pour eux, mais l'apparition d'un rat mutant de la taille d'un grizzli ne va pas arranger du tout leurs affaires. Complètement vulnérable, ils vont néanmoins parvenir à riposter.

10h-12h / Un bon lacet est un lacet invisble ! ftMirage, Vinci & Alice

Le moment était plus que mal choisit pour que des souvenirs pointent leur nez. Mais confiant des autres, chacun d'entre eux à pu voir une part de son histoire. Dans le cas de Miguel, il semble que ses activités professionnelles {c.f Souvenir 5} ne soient pas très clean. Après avoir incendié et asphyxié le rat géant, le trio s'enfuit et découvre des bureaux, à l'étage. Mais la vision qui les attends les refroidit, et l'incendie provoqué par Mirage les contraint à sortir du complexe et les amène à rencontrer un petit garçon.

Opium, elle craint. Elle a forcément trempé dans des histoires louches. Y a qu'à voir son souvenir. En plus elle se plaint tout le temps. Et puis c'est une fille. Bref. Opium et lui, c'est conflictuel. Mais ça ne l'empêche pas d'avoir une dette envers elle, et puis ils commençaient à bien s'entendre. D'ailleurs, c'était son idée de l'appeler comme ça. Une sorte de vengeance pour l'avoir affublé du H2O qui lui a servit de nom pendant quelques temps. Ils ont été séparés après le sommeil forcé et Miguel aimerait bien rembourser sa dette au plus vite.

Un peu tête en l'air, Star' est une adolescente assez déconcertante qui à l'air complètement à l'ouest. Miguel ne voit pas trop à quoi elle pourrait servir, mais reconnaît qu'elle est capable de certaines choses, dans certains contextes. Après l'incident à la piscine, elle s'est volatilisée dans la nature, mais ça n'affecte pas Miguel plus que ça.

Mirage est une belle, mais entre eux, ça a du mal à passer parfois. Miguel se moque d'elle autant qu'elle le prends de haut, et c'est presque toutes les secondes qu'ils se lancent des piques. Toutefois, Miguel commence à s'attacher à elle, ce qui l'embête un peu, mais il n'oserait pas dire qu'il apprécie leur prise de bec.

S'il y a une seule personne dans la ville que Miguel ne pourra probablement jamais blairer, c'est bien Matt. Comment dire... Trop différent ? Ouais carrément, ils évoluent dans des mondes radicalement différents et de ce fait, y pas moyen pour qu'ils soient sur la même longueur d'onde. Miguel ne voit en Matt qu'un cobaye à utiliser au plus vite pour s'en débarrasser. Mais il reconnaît ses compétences, au moins.

Miguel l'ignore, mais Vinci est l'un de ses petits frères. Hélas pour lui, ce dernier à été maudit par la ville et est de ce fait complètement invisible. Mais Miguel s'intéresse énormément à lui et lui reconnaît une certaine intelligence et vivacité d'esprit. On pourrait presque dire qu'il lui fait confiance !