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Le temps file, Lou, quel Filou !

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Tueuse de T-Rex
Lou
« Tueuse de T-Rex »

Lou

Messages : 471
Date d'inscription : 11/07/2012

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MessageSujet: Le temps file, Lou, quel Filou !   Le temps file, Lou, quel Filou ! Icon_minitimeDim 17 Fév - 17:20

CARTE D'IDENTITÉE

Le temps file, Lou, quel Filou ! Mini_i10

  • Pseudonyme : Lou
  • Prénom, nom : Natacha /
  • âge prétendu/ réel : 23 ans /
  • Nationalité : /
  • Date de naissance : /
  • Genre Femme
  • Liens familiaux : /


_____________________________________________
PHYSIQUE
_____________________________________________

  • Taille : entre 1m 50 et 60. entre 1m 40 et 50.
  • Poids : Dans la moyenne.
  • Cheveux : Longs, Bouclés, Roux.
  • Yeux : Bleu. En amande.
  • Visage : en cœur ! ♥️
  • Poitrine : pas assez.
  • Hanche : juste assez !
  • Autre  : une queue et des oreilles d’écureuil.


_____________________________________________
CARACTÈRE
_____________________________________________
Joyeuse, enthousiaste, sans peur, têtue, rancunière, égoïste, bavarde, hyperactive, positive, possessive, souriante...



BILAN HORAIRE

72 -22 (tranches horaire jouées) + 20 (souvenirs obtenus) = 70 heures au compteur


GESTION DU TEMPS
Tranche horaire d'arrivée :
Le temps file, Lou, quel Filou ! 602450278 20h-22h

Tranches horaires jouées : 11 ~ ( soit - 22h)
1ère nuit : Le temps file, Lou, quel Filou ! 602450278 20h-22h - Le temps file, Lou, quel Filou ! 1504705650 22h-00h - Le temps file, Lou, quel Filou ! 3446118776 00h-02h - Le temps file, Lou, quel Filou ! 3247343333 02h-04h - 04h-06h
1er jour : Le temps file, Lou, quel Filou ! 1550624631 6h-8h - Le temps file, Lou, quel Filou ! 2794341666 8h-10h - Le temps file, Lou, quel Filou ! 50897519 10h-12h - Le temps file, Lou, quel Filou ! 2084913611 12h-14h - Le temps file, Lou, quel Filou ! 2025713651 14h-16h - Le temps file, Lou, quel Filou ! 1551479860 16h-18h

Souvenirs:
De nuit (+6 heures) : 2 souvenirs (Soit + 12 heures)
De jour (+2 heures) : 4 souvenirs (Soit + 8 heures)
Souvenirs non touchés : /
Temps volé: /
Temps perdu : /
Total des souvenirs : +18 heures.


SOUVENIRS, ÉPISODES DE LA VIE D'AVANT
Premier souvenir, le coup du sapin

Elle ouvrit la porte. Son regard tomba sur le salon aux grandes vérandas, à la table basse en bois kitch posée sur un immense tapis d’Orient face à un écran plat éteint. La gorge encore serrée par l’angoisse, elle trouva refuge sur le canapé dans lequel elle se lova tout en enlevant ses bottes trempées. Elles valsèrent à l’autre bout de la pièce, tout comme sa veste et son pull. Vêtue d’un simple maillot de corps à bretelle et d’un jean, pieds nus, elle s’enveloppa dans une couverture et la rabattit sur sa tête. Terrée dans cet abri d’infortune, elle laissa les larmes rouler doucement le long de ses joues.

Les souvenirs lui revenaient. Des gens heureux qui riaient, serrés autour d’une table, occupés à découper de la dinde, des visages connus d’hommes et de femmes dont la mémoire lui pinçait le cœur. La seule vue du sapin dans cette maison endormie avait suffit à les faire remonter en surface alors qu’elle s’était juré d’oublier. Et lui, lui il pensait que…

La porte s’ouvrit à nouveau. Elle renifla bruyamment et essaya de sécher ses larmes d’un revers de main dans la pénombre de sa cachette improvisée.

« Tu es là. » lança une voix grave, soulagée. Il était revenu. « Ne boude pas s’il te plaît. Je suis désolé, je n’aurais pas du… » la voix était douce, basse et câline. Elle fit un effort pour ne pas pleurer à nouveau. L’homme s’était approché, à ce qu’elle en discernait au bruit de ses pas. « Tu m’en veux toujours ? » Sous sa couverture, elle secoua la tête. Elle l’entendit poser son sac sur le sol et s’asseoir sur le canapé, à côté d’elle. Elle compta mentalement jusqu’à dix puis se décida à retirer la couverture. « Non, c’est pas grave. » murmura-t-elle tout en évitant de croiser son regard. La tête résolument tournée dans la direction opposée, elle poursuivit. « C’est ma faute, j’aurais pas du toucher au sapin. » Elle soupira, haussa les épaules et s’essuya à nouveau les yeux pour en chasser une larme rebelle. « C’est juste que… » Il posa une main sur ses épaules, le contact de sa paume chaude sur sa peau nue la troubla. « Quoi ? ». Elle secoua résolument la tête. « Nan, rien. Rien je te dis.» acheva-t-elle en secouant ses boucles rousses alors qu’il faisait mine d’insister. Elle s’en apercevrait plus tard mais les mots avaient quittés l’italien pour retourner presque instinctivement à l’espagnol durant cette dernière réplique.

Elle se pencha sur la table basse et saisit la télécommande. Elle tripota nerveusement sur les boutons avant de tomber sur un dessin animé. Aussitôt, elle battit des mains et s’écria « Oh regarde ! Regarde ! C’est les petits poneys ! C’est ma chansoooon ! » Elle se leva et exécuta quelques pas de danse alors qu’à l’écran, Pinkie Pie, un poney rose persuadait ses amis de ne pas avoir peur d’arbres maléfiques. Elle rit aux éclats et s’écroula sur le canapé à la dernière note. « Aaah, les petits poneys, c’est toute mon enfance. » Son enfance. Le sapin. Le sapin. Elle ne se tourna pas. Il afficherait sans doute un regard sceptique en la traitant de folle. Mais elle avait l’habitude.


deuxième souvenir, les gens-poupées

Un bar. L’endroit lui paraît bizarre. Peut être à cause des tableaux accrochés au mur en mode Picasso, œuvres d’artistes cubistes déstructurés. Peut être à cause de la musique indienne qui participe à l’ambiance onirique du cadre. Ou alors à cause de ce cocktail qu’elle a accepté mais dont les teintes verdâtres lui semblent…bizarres. Comme le lieu, comme tout. Comme lui. Le monde entier lui semble étrange.

Lui, il est toujours assit à sa table. Il ne parle pas. Depuis le début. Au début, elle trouvait ses silences charmants. Maintenant, ils lui semblent juste agaçants. Elle a l’impression de meubler le vide par ses babillages. Posé sur sa chaise, plus silencieux qu’un caillou, il pourrait tout aussi bien être ailleurs qu’il ne l’entendrait pas plus. Ses longs cheveux bruns et gras lui tombent sur le front et lui masquent les yeux. Sur sa joue osseuse, elle discerne encore une marque de fusain. Il porte un pull informe et sale. Il l’énerve.

Elle secoue la tête, triture son verre et s’exclame brusquement. « Il faut qu’on parle. » Phrase cliché. Elle espère le faire réagir au fond. Mais il ne dit toujours rien. « Il faut que tu me parles. » reprend-t-elle. « Parce que depuis…depuis le début j’ai l’impression que tu n’es plus là. Avant, avant c’était mieux et on était deux. Mais maintenant, je suis toute seule à parler dans l’oreille du vent. Et le vent c’est toi. Tu comprends ? » Il ne relève pas même la tête.

« Moi j’ai pas besoin de toi tu sais. J’ai l’impression de traîner une larve, un boulet, une chenille coincée dans sa chrysalide qui refuse d’éclore. On dirait…On dirait vraiment un gosse égocentrique. Les gens ne sont pas des poupées qui vont agir selon tes désirs, tu sais ? Ou alors, choisit-les bien dociles. Grandit un peu, apprends à accepter les choses pour ce qu'elles sont sans t'en plaindre, sinon, tu vas juste souffrir. Encore. Et encore. Comme là, en fait ! Tu m’entends ? »

Sa voix part dans les sanglots. Mais elle sait qu’il est trop loin pour l’entendre. Elle ne peut plus l’aider. Elle ne veut plus l’aider. « Allez ! Désespère pas, les choses vont d'arranger, va ! J’espère que tu trouveras des gens qui te vont, moi, je vais chercher le mien. Salut ! » murmure-t-elle d’une voix douce tout en ramassant son sac.

L’oublier. Ne plus se souvenir de lui et de sa léthargie. Ne garder que les rires. Les bons moments. L’Avant.


Troisième souvenir, La colocataire


Elle est assise sur son canapé, dans son appartement. Dans leur ancien "chez elles". Mais ça ne compte plus depuis qu'elle est partie. Il y a eut les embrassades dans le hall de l'aéroport, les câlins et les promesses de s'appeler souvent, de rester toujours en contact. Et maintenant, elle est seule ici. C'est silencieux. Elle a l'habitude de parler aux objets mais ils ne répondent pas, eux. Ils ne peuvent pas partager ses états d'âmes encore moins faire de l'esprit. Ils sont affreusement calmes.

Pourtant, elle sait que la situation ne va pas durer. Elle se coupe tranquillement les ongles, lovée sur un coussin. Ca ne sert à rien de penser à elle. Il faut arriver à supporter l'absence. Ne jamais s'attacher, rester toujours libre, elle se l'était promit. Elle sourit faiblement. Elle en a fait du chemin depuis. Ses rêves d'indépendance sont bien réalité. N'empêche qu'il est bien étrange de voir l'appartement vide.

La sonnette sonne elle se lève tout sourire, lâche le coupe ongle, sautille jusqu'à la porte et l'ouvre avec un grand sourire. Elle regarde à peine la fille qui lui fait face, elle correspond à la photo qu'elle avait dans le dossier, brune, les cheveux courts. Elle lui dit. " Pile à l'heure ! " Et elle l'entraîne derrière et fouille sur la table basse pour en récupérer un paquet de mentos qu'elle lui tend en demandant " Copine ? "

Nouveau sourire. Quitte à changer de colocataire, autant créer dès le début une bonne ambiance, non ?
Le vol de nuit ne suffit pas à payer le loyer.


Quatrième souvenir, La petite souris

Elle n’en revient pas d’être là. Assise sur la banquette arrière, les mains dans le dos, menottée comme une criminelle. Il fait nuit, les rues sont vides. Et elle a été prise au piège.

« Alors nous y voilà. » Même sa voix l’énerve. Il parle d’un ton suffisant, fier de lui. Elle lui lance un regard noir par delà le rétroviseur et il lui renvoie un sourire. « La souris prise au piège dans la souricière. » ajoute-t-il pour faire de l’esprit. Elle lève les yeux au ciel. Il n’est même pas drôle. Très bien monsieur, vraiment très bien. Et maintenant quoi ? Il va la conduire au poste ? Il lui lance des regards insistant mais elle reste obstinément muette. Elle ne lui fera pas le plaisir de parler. Pas de remords. Rien. Elle assume tout à fait ses actes. Embarqué à côté d’elle, son rossignol atteste du délit qu’elle vient de commettre. Mais elle ne s’en veut pas. Elle sait qu’elle le fait par nécessité. Pas pour embêter ce policier stupide qui semble persuadé du contraire.

A côté d’elle, il y a un chien. Tout ça, c’est la faute du chien. C’est lui qui a pisté sa présence et qui l’a empêché de fuir. L’animal aussi à droit à un regard haineux. En plus, il bave et il sent mauvais. Elle se demande comment Monsieur le Policier Chiant au Chien fait pour tolérer les touffes de poils que le canidé laisse dans la voiture.

« Bien, bien, donc nous allons suivre la pro… » Choc. Monsieur n’a pas le temps de terminer sa phrase, la voiture tangue et s’arrête. Bruit caractéristique du pneu crevé. Le policier jure et le chien aboie. Elle soupire. Il arrête le moteur et ouvre sa portière. « Besoin d’aide ? » demande-t-elle d’un ton cynique. Elle lui offre son plus beau sourire alors qu’il lui répond par une obscénité.

Il ne lui faut pas longtemps pour ouvrir la portière avec les dents, et encore moins pour assommer à moitié le chien en lui lançant le rossignol. Et dans la nuit obscure, elle s’élance en courant. Vers la liberté. Liberté chérie.

Elle ne peut pas se permettre de se faire arrêter. Elle a un enfant à charge.


Cinquième souvenir, La claque au soin

Elle se précipite sur la petite silhouette qui vient de choir sur le sol de la piste, comme un pantin dont on aurait coupé les fils, tandis que la haute silhouette du directeur disparaît déjà en coulisses, avalée par l'obscurité. « Hey ! Est-ce que tu peux te relever ? ». Elle est déjà accroupie à côté de son amie, effleure doucement sa joue rougie par le coup tout juste reçu, retenant une grimace. Elle ne veut pas lui demander si ça va. Non, ça ne peut pas aller, pas avec ce qui vient de se passer. Elle croise le regard larmoyant d'Olga, et sent son cœur se serrer. Cédant sans résister, elle serre contre son cœur sa camarade, caressant les cheveux flamboyants, en chassant les petits grains de sables qui s'y étaient logés lors de la chute. « Chuuut, ça va aller ». Des mots tellement bateaux. Mais c'est tout ce qu'elle trouve à chuchoter pour essayer de calmer les sanglots qui commencent à secouer le petit corps dans ses bras. Non, elle ne veut pas l'entendre pleurer, elle n'a pas du tout envie de ça. Ce qu'elle veut, c'est ce sourire, cet air joyeux et insolent à la fois qui caractérise tellement Olga d'habitude. Elle n'arrive pas à éteindre la haine qui brûle dans son cœur, quand elle pense au directeur, quand elle revoit le coup partir. Comment peut-on frapper une enfant ? De quel droit ? Elle prend son amie par les épaules, la secoue doucement. « Hey. Écoute moi, j'ai de quoi te soigner dans ma caravane, viens avec moi, d'accord ? Je vais m'occuper de ça ».

Déjà, elle est debout, la main d'Olga dans la sienne, tire doucement pour l'aider à se relever. « Tu verras. Ça ne sera pas toujours comme ça. On va s'en sortir ! On va sortir de tout ça ! ». Le regard plein d'espoir qui se pose sur elle la conforte un peu plus. Il ne faudra pas faillir. Il va falloir s'en sortir. Et les deux petites filles filent en trottinant, franchissent la toile du chapiteau, au moment exact où les silhouettes des premiers spectateurs s'y engouffrent.


Cinquième souvenir, Natacha

Elle fait son échauffement, reste concentrée, mais le regard insistant de l'homme en face d'elle la déstabilise. Ses yeux se ferment, elle tente d'oublier sa présence. Elle effectue quelques acrobaties, jetant par moment des regards en direction de son oncle. Le visage de ce dernier reste neutre, ne laissant transparaître aucune émotion. Elle ne peut pas savoir si ce qu'elle fait lui va ou non, si elle a travaillé assez à son goût. Alors elle se contente de continuer, tant qu'il ne dit rien, c'est bon signe n'est-ce pas ?

Puis, un faux pas, et elle trébuche. Il se redresse, fronçant les sourcils, vraisemblablement en colère. « Relève-toi bonne à rien !  ». Elle obéit et se remet rapidement sur ses pieds, apeurée par la voix froide que vient de prendre son oncle. Il s'approche dangereusement d'elle avant de la gifler avec force. « Tu es vraiment pathétique ! Même pas capable de tenir sur tes pieds ! Si j'ai dis à tes parents que je te prenais dans ma troupe de cirque, ce n'est pas pour avoir une idiote comme toi qui fait rater le spectacle ! Il faut que je te frappe encore pour que tu comprennes ? ». Elle recule, les larmes aux yeux. La peur grandit en elle, l'envahit, étouffante. « Non, non, non ! Pas encore ! ». « Qui t'as dis que tu décidais ? Je vais te donner une bonne correction pour me répondre sur ce ton ! ».

Elle s'éloigne à petits pas, tremblante, avant de se mettre à courir le plus vite possible. Une cachette, elle a besoin de se cacher, n'importe où. Elle entre dans une des roulottes et se cache sous le lit, pleurant silencieusement, étouffant ses sanglots en mettant ses mains devant sa bouche. Les pas s'approchent, lourds, bruyants, et s'arrêtent devant la porte. « Je sais que tu es là, Natacha ». Elle se fige, pâlit, retenant sa respiration. Il s'approche du lit avant de se baisser pour la regarder, un sourire sadique sur les lèvres. « Trouvée ! ». Il attrape sa cheville et la tire de sous le lit. Elle hurle et se débat, des larmes de terreur coulant sur ses joues. « Tu mérites d'être frappée plus fort que d'habitude pour avoir tenté de fuir ! ». Puis un coup part, et encore un autre, et la petite roulotte s'emplit de ses gémissements et de ses cris de douleur. Elle ne peut pas lutter, pas contre lui.

Il est trop fort pour elle.




SUIVIT DU PERSONNAGE
Premier jour



Deuxième jour




DÉCOUVERTES
Objets trouvés InRp:

  • Une lampe torche Balancée sur Lala L'araignée.
  • Un paquet de Mentos (donné puis reprit à Décembre)
  • Un prospectus de musée avec plan et écrit "Aidez nous s’il vous plait. T-rex au dépôt ! Vite !"
  • Pierre - le caillou magique
  • Du supermarché/rayon bricolage : Piles, tournevis, marteau, une nouvelle lampe-torche, corde.
  • Du supermarché/rayon hygiène: gel douche, shampoing, dentifrice, brosse à dent, démaquillant.
  • Du supermarché/rayon hygiène: pansements et désinfectant.
  • Du supermarché/rayon Bricolage/Prises de Rose : Tronçonneuse (si si ).
  • Du supermarché/rayon Bricolage/Prises de Rose : Poêles, casseroles, bols.
  • Des maisons vides : quelques conserves et réserves à manger
  • Des maisons vides : Piles de vêtements.


Dans le coffre de Biscuit

  • Piles, tournevis, marteau, une nouvelle lampe-torche, corde.
  • gel douche, shampoing, dentifrice, brosse à dent, démaquillant.
  • pansements et désinfectant.
  • Tronçonneuse
  • Poêles, casseroles, bols


Pnjs rencontrés :
  • La Statue du lion
  • Biscuit - sa voiture apprivoisée
  • Un T-rex mécanique (qui ne bougera plus, désormais...)
  • Lala l'araignée


Découvertes du personnage :
  • La ville doit être vivante et elle ne nous veut pas du bien.
  • Chaque chose peut être vivante -statue, voiture, machine...
  • Les souvenirs via les billes lumineuses
  • Un compteur ?
  • La bouffe de la fontaine, c'est magique.

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