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| Il ne pleut plus tralala enfant perdu et sourire tordu. | |
« Guerrière tribale ensanglantée »
Ironie
Messages : 582 Date d'inscription : 12/01/2013 Age : 27 Localisation : Savoie
Feuille de personnage Temps restant: (68/72) Dans ses poches: Rencontres/Découvertes: | Sujet: Il ne pleut plus tralala enfant perdu et sourire tordu. Jeu 4 Juil - 16:53 | |
| « Vent tonitruant, pluie en aparté. Elle avance, cheveux détrempés, odeur effacée. Qui est-elle ? Un pas après l’autre, un sac à l’épaule… Armée, brûlée, éthérée. Des gouttes dégoulinent, esquissent et se perdent. Elle lève les yeux aux cieux. Combien de temps ? Tant. Pas assez. Les nuages emportés, les flots dilatés, puis oubliés. Elle reste seule, avec son ombre, ses idées. Que représente-elle ? Elle nous offre son dos, dévoile sa chemise humidifiée. Mise à nue, collée. Tâches rouges épaissies, taries. Ne partiront-elles jamais ? Qui sait. Féline, troublée, trempée. Averse passée, avec quoi s’occuper ? Elle erre, avance et traverse. Elle transparente, dans sa tenue atomisée. Elle rincée, aux contours vivifiés. Dépassant un lampadaire, évitant les remous d’airs. Impassible, à quoi s’attendre ? Enjambements, elle se prélasse, succombe et s’évade. Renouvelée, ayant tout quitté. Plus. Elle en veut plus. Elle veut changer compagnie, s’offrir une nouvelle vie. Pour un instant durant. Qu’on fasse rire et jouer. Dans cet âpre jeu aux règles bafoués et regards éraillés. Qu’on prenne plaisir, qu’on fasse d’une parole jaillir un sincère sourire. Son visage alors se dévoile. Des iris d’obsidienne, pupilles faussement céruléennes. Océan enragé apaisé, nez camus aligné et sourcils ne cherchant plus à s’arquer. Lèvres rougies par intempéries, rebond gracile pour côté quelque peu endommagé. Qu’importe. Erreur est humaine, défaut superficiel. Mèches engorgées qui tombent, s’animent et s’enlacent. Mêlée incontestée entre capillaire et volonté. Mais qu’importe. La silhouette enfin s’est transformée. Dos, buste, visage. Le corps s’est formé. Le nom peut se poser, les pensées s’installer. Ironie. Ironie, debout, revêche, moqueuse et lointaine. Ironie et son anarchie et son élégance jetée à la volée. Ironie dressée et sauvage, Ironie et sa fausse accalmie. Ironie qui attend. Son prince charmant ? Pfeuh, ne faites pas rire. On n’en à que faire, des contes enivrés. Ironie désabusée. Lâchée. Perdue. Elle n’attend plus, n’espère plus. S’est retrouvée. Apothéose. Savez-vous défier ? Elle ne sait pas, mais n’espère que ça. Une arrivée. Quelqu’un de potentiellement charmant, aimant autre chose que les fessiers et bananes chocolatées. Le tact ? La délicatesse ? Enfant, elle avait joué avec. Ne les avaient jamais retrouvés. |
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« Gazelle Rebelle Tabasseuse d'enfants »
Matt
Messages : 158 Date d'inscription : 25/12/2012 Age : 27
Feuille de personnage Temps restant: (66/72) Dans ses poches: Rencontres/Découvertes: | Sujet: Re: Il ne pleut plus tralala enfant perdu et sourire tordu. Jeu 4 Juil - 21:30 | |
| Longeant les rayons, Matt revient sur ses pas, vers l’entrée du centre commercial. Il n’a plus rien a y faire maintenant. Et puis il n’a pas envie de recroiser l’autre débile de brun. Il retire le sweat qu’il a piqué dans le supermarché et essuie son visage encore plein de cendre avec le revers. Faut être présentable wesh. Présentable à qui ? Personne dehors. C’est que c’est vite ennuyant pour lui, et il s’éloigne déjà laissant le sweat traîner par terre. Lalala la vie est belle oui tout à fait. Et jetant un bref regard alentour il prend une direction encore aléatoirement choisie. Va pour la droite. Son regard se fixe sur un bâtiment au loin, voilà il a trouvé sa destination. Il ne sait même pas ce que c’est et à vrai dire il s’en fout. Tant que ça l’occupe. Et tandis qu’il dévisage le paysage il entend soudain des pas derrière lui. Il se retourne pour découvrir ou plutôt redécouvrir Février. Bah tiens, elle a pas traîné son frère relou ? Face à cette information il sourit. Février sans son frère c’est tellement mieux. Il lui dit, souriant toujours :
- Content de t’revoir Février !
Quoi ça fait à peine cinq minutes qu’ils se sont quittés ? En attendant il trouve ça cool qu’elle soit venue avec lui. Après tout c’est sûrement la personne avec qui il s’est le plus éclaté depuis son arrivé dans le train. Il reprend la marche. Et bientôt leurs pas les mènent vers ce qui semble être un campus. Et pendant un instant il hésite à faire demi-tour, l’idée de rentrer dans un truc réservé à l’étude le révulsant plus qu’autre chose. Mais une silhouette près de l’arrêt de bus attire son regard. Il se rapproche pour découvrir une autre brune, trempée. Décidemment elles prennent toutes leurs douches en étant habillées dans ce patelin ? C’est sans compter que cette nouvelle brune est terriblement canon. Sauf qu’elle a l’air d’une blasée de base. Faut changer ça. Alors il se rapproche et lui demande :
- Tu veux danser la Carioca avec moi ?
C’est sortit tout seul, comme ça. Pourquoi la carioca ? Allez savoir. C’est tellement ridicule que ça l’a fera peut-être sourire après tout.
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« Aime bien parler pour ne rien dire »
Février
Messages : 44 Date d'inscription : 01/11/2012 Age : 29
Feuille de personnage Temps restant: (30/72) Dans ses poches: Rencontres/Découvertes: | Sujet: Re: Il ne pleut plus tralala enfant perdu et sourire tordu. Ven 5 Juil - 11:25 | |
| Elle rejoint finalement Matt sur la route. La route de quoi ? Aucune idée, mais elle s'en fiche royalement. Peu importe l'endroit sur lequel ils tomberont, ils trouveront toujours de quoi se distraire en attendant que leur décompte s'arrête. Parce que c'est un peu ça quand même, hein ? Attendre la fin.
Rien à faire.
« Re-coucou », fait-elle machinalement pour répondre au sportif.
Puis ils arrivent devant un arrêt de bus, devant lequel attend une femme plutôt... Euh... Étrange ? Elle a l'air complètement perdue, au point que Morgane se demande si elle est pas un petit high, quand même. Mais bon, si ça se trouve, elle est sympa !
La brune ne peut pas s'empêcher de pouffer quand Matt lui sort la technique de drague la plus grotesque de tous les temps. Mais genre vraiment !
« Tu crois vraiment qu'elle va dire oui ? Et puis... Tu sais danser, toi ?! Attends, je veux voir ça, ça promet d'être hilarant ! »
Elle s'installe sur le banc de l'arrêt de bus après un « salut » lancé à la femme stone, un grand sourire scotché aux lèvres. D'où le BG racailleux sait danser ? Je sens que ça va être fun ! |
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« Guerrière tribale ensanglantée »
Ironie
Messages : 582 Date d'inscription : 12/01/2013 Age : 27 Localisation : Savoie
Feuille de personnage Temps restant: (68/72) Dans ses poches: Rencontres/Découvertes: | Sujet: Re: Il ne pleut plus tralala enfant perdu et sourire tordu. Ven 5 Juil - 12:45 | |
| « Jouer ? Mais comment ? « Sourcils qui se rehaussent. Lui qui arrive, suivit d’une brune dynamique. Lui qui la dévisage et lui balance… Elle réprime un fou rire dément. S’arrache un sourire un coin. Non mais. La Carioca ? Presque sérieux, en prime. Souvenir de Sugar qui lui propose une danse. Gay ? Ca briserait un mythe. Alors ses pupilles s’étrécissent. Transformée féline, elle examine minutieusement chaque parcelle de son corps, se prélassant délicieusement –le rime, vous comprenez– sur quelques contours qui en méritent le détour. Oui oui. Les gays, ca se voit au physique, vous comprenez ? Suffit juste de savoir observer. Après de longues pauses, elle se rehausse, l’œil intéressé. Potentiellement intéressant, un pouce séduisant. Les dires de l’ado ne la dérangent pas. Juste un défi, une proposition qui pourrait faire changer ce monde ennuyeux. Mais bon. Il faut savoir valser sur la perche qu’elle lui a posée. Rebondir sur une accusation, rester soi-même dans la provocation. Et surtout, s’amuser dans une fausse séduction. Que demander de plus ? Changer d’air. Parfaire. Ironie sourit. Enfin. Un sourire qui cache et dissimule tout en montrant assez. Un sourire cynique et provocateur. Ce genre de sourire qu’on ne lui laissait plus produire. Elle pose une main sur ses hanches, lâche à qui veut entendre : « J’aurais pas dit non, mais de ce que j’en entends, tu sembles pas si bon.. N’empêche qu’elle avance quand même d’un pas. N’empêche qu’au delà d’un pincement de sourcils déçus, elle sourit, aussi. Elle lance un regard en coin à la brunette, sourire qui s’évase, se redresse. Amusement. Puis retour à la source. Idéal du contre-ennui. J’attends.
Dernière édition par Ironie le Ven 26 Juil - 19:30, édité 3 fois |
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« Gazelle Rebelle Tabasseuse d'enfants »
Matt
Messages : 158 Date d'inscription : 25/12/2012 Age : 27
Feuille de personnage Temps restant: (66/72) Dans ses poches: Rencontres/Découvertes: | Sujet: Re: Il ne pleut plus tralala enfant perdu et sourire tordu. Ven 5 Juil - 13:13 | |
| Il a bien envie de répondre à Février qu’évidemment il sait danser voyons. Mais en fait même ça il ne s’en souvient pas. Et il se demande s’il n’a pas fait une connerie en proposant cette danse en particulier. Barf j’ai la classe en toutes circonstances de toute façon. Et il se prend encore plus pour un Dieu quand l’inconnue l’inspecte du regard. Ouais, ouais matte bien y a de quoi. Et il ne peut s’empêcher de lui rendre la pareil. Faut profiter de ce que la nature nous offre nan ? Il fronce les sourcils à la réplique de la nouvelle brune. Pfu depuis quand on se fie à Février maintenant ? Et pourquoi elles doutent de mes capacités à danser hein ? Il serait presque vexé oui. Mais en attendant il lance avec un sourire narquois à la meuf sexy qui lui fait face :
- J’suis bon en plein de chose. Mais après… à toi de voir.
Tu veux tester ? Ouais maintenant il la défie de danser la Carioca. Ça se trouve elle connaît même pas.
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« Guerrière tribale ensanglantée »
Ironie
Messages : 582 Date d'inscription : 12/01/2013 Age : 27 Localisation : Savoie
Feuille de personnage Temps restant: (68/72) Dans ses poches: Rencontres/Découvertes: | Sujet: Re: Il ne pleut plus tralala enfant perdu et sourire tordu. Ven 5 Juil - 19:04 | |
| « Mh… Tu disais ? 12h-14h « Réplique. Il la défierait ? Sourire qui s’efface, se module à nouveau. En coin, d’un seul côté. Esquissé. On veut jouer ? Elle remue un instant ses doigts, pose sa menotte délicate sur la courbe de ses reins. Bon… Hein ? Peu importe ce qui se passe dans la tête d’Ironie, il est clair de part son regard que la pensée est hautement placée. Mélange de moqueries perverties et de songes inavoués. « Et tu me les montrerais, ces… Atouts ? » Ses lèvres forment une moue quasi effrontée et narquoise, elle le dévisage. On sait jamais hein. Histoire que ton côté gay ressorte à coup donné. Enfin… Traumatisée ? Peut-être. Serait-ce que relâchant l’emprise à ses hanches, elle s’avance d’un pas. Puis de deux. Danser la Carioca, hein ? Ca se trouve, je sais même pas. Et pourtant, ne serait-ce pas comme ça, ici… Le premier mouvement, là ? Elle pose un pied, le recule, ses hanches que trop félines suivent, avant de s’immobiliser. Elle lui tendrait bien là mais, histoire de faire… Autre chose que… Ca ? Mais bon. Comme on dit, il y a toujours moyen. « Enfin.. Carioca, atouts ou non… A toi de voir… » J’admets. C’était ta réplique. Mais après tout… Qui ne fait rien n’a rien ? Mesquine et cruellement habile. |
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« Gazelle Rebelle Tabasseuse d'enfants »
Matt
Messages : 158 Date d'inscription : 25/12/2012 Age : 27
Feuille de personnage Temps restant: (66/72) Dans ses poches: Rencontres/Découvertes: | Sujet: Re: Il ne pleut plus tralala enfant perdu et sourire tordu. Ven 5 Juil - 19:08 | |
| Un regard dit bien des mots parfois. Et à travers le regard qu’elle lui lance il croit deviner ce qu’elle pense. Et sa réponse le fait sourire. Elle m’allume. Mais lui est déjà chaud. Comme s’il allait répondre non. - Pourquoi pas ?A toi de voir encore une fois. Et il s’empêche de ricaner lorsqu’elle se met à danser. Elle relève le défi ? J’sens que ça va être drôle. Son regard s’attarde un instant sur le déhanchée de la brune. Il s’amuse du spectacle et ne pense un instant plus que lui aussi devra danser. Il remonte son regard vers les yeux bleus profond de la danseuse lorsqu’elle parle de nouveau. A moi de voir ? C’est vite vu alors. A son tour il entre dans la danse. Se déhanche, tend sa jambe gauche sur le côté, puis la droite. C’est ridicule putain. Mais le ridicule ne tue pas après tout. Puis ayant fini ce pas de danse, il passe son bras droit autour de la taille de la brune, l’attire contre lui et entremêle les doigts de sa main gauche aux siens. Ainsi il l’entraîne dans le mouvement, fait quelques pas droit devant eux. Puis fait demi-tour, la fait tourner, la met dos à lui. Il pose sa main droite sur la hanche droite de sa partenaire de danse, collant son corps contre le sien. Grrr voilà une partie intéressante. Ouais il apprécie la sensation que procure le corps de la jeune femme se déhanchant contre le sien. Ils font de nouveau quelques pas en avant, et il se demande si elle va continuer la danse. - Spoiler:
Les pas de danse, c’est juste trop compliqué à décrire ;;
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« Aime bien parler pour ne rien dire »
Février
Messages : 44 Date d'inscription : 01/11/2012 Age : 29
Feuille de personnage Temps restant: (30/72) Dans ses poches: Rencontres/Découvertes: | Sujet: Re: Il ne pleut plus tralala enfant perdu et sourire tordu. Ven 12 Juil - 11:40 | |
| Elle les regarde danser. Avec amusement, d'abord, puis avec ennui. Elle attend le moment où Matt se gamellera, où la brune lui écrasera involontairement le pied, où... Et bien où quelque chose de drôle se passera. Mais rien n'arrive, rien ne vient. Février commence à se lasser de leurs pas. De leurs regards. De leur retenue. De tout, en fait. Elle est assise à l'arrêt de bus et lâche un long soupire, puis baille à s'en décrocher la mâchoire.
« Vous avez pas l'air cons, déjà... Un peu d'action ? » Pause. Et puis après tout, s'ils veulent cariocater... « Owiiiii ! Youpiiiiii ! Dansons la carioca ! » S'exclame-t-elle en chantant à moitié pour accompagner leurs pas, faisant de grands gestes avec ses bras et tournoyant elle-même en se relevant brusquement.
Hop, elle se retrouve derrière eux. Hop, son sourire revient au galop. Elle se moque d'eux. Gentiment, mais c'est tellement marrant. |
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« Guerrière tribale ensanglantée »
Ironie
Messages : 582 Date d'inscription : 12/01/2013 Age : 27 Localisation : Savoie
Feuille de personnage Temps restant: (68/72) Dans ses poches: Rencontres/Découvertes: | Sujet: Re: Il ne pleut plus tralala enfant perdu et sourire tordu. Sam 27 Juil - 18:08 | |
| « Hm ? Tu voulais ?
« Elle rit. Silencieusement, évidemment. Ses épaules ses relâchent, ses nerfs se détachent. Elle oublie, passe à la trappe les évènements, fait une pause pleinement méritée. Puis, comment ne pas jouer ? Lui qui esquisse ses pas, les premiers. C’est clair, on est carrément ridicules. Mais ça ne tue pas, alors quand il l’attrape et commence la danse, la menant à contre courant, elle se dit qu’au final, ça passe. Tant qu’on est pas seul dans nos pas, ça va. Surtout que certains passages sont plutôt à son avantage. Enfin. Mon… Mesquine elle réprime son ironie quand il se plaque contre elle. On parlait des atouts de qui ? Mais bon, passons. Au moins, il est humain. Ouais, les gays, pour elle, c’est plus très humain, même un peu mort. N’empêche qu’elle aussi, elle apprécie, et s’y prête de bon cœur. ’Fin, le manque, toussa, quoi. Elle en oublie quelque peu ses manières, ses paroles, elle n’a pas besoin d’alcool. On l’a juste perdue, à trop vouloir l’avoir, à trop vouloir la soumettre, ou la réprimer. A lui dire qu’elle ne servait pas, ou que trop. A lui dire qu’elle était cruelle, ou pas assez. A lui dire qu’elle n’intéressait pas, personne, mais qu’on ne voulait pourtant pas la lâcher. Alors oui. Elle se retrouve égoïste et cruellement déhanchée. Elle ne veut plus y penser. A ce pauvre légume blessé et atrophié. Puis s’amuser, aussi. Mais bon, faut pas trop l’avouer, ça. C’est vrai qu’il est pas moche. Qu’il ne pue pas ou l’on ne sait quoi. Et l’autre qui scande ces paroles plutôt familières. La brune hausse un sourcil, étouffe un ricanement, et reprend main. Si il ne cache rien, pourquoi se cacherait-elle, hein ? N’empêche qu’au final, elle le relâche, pour esquisser cette danse risible. Elle ne peux pas s’empêcher de lui adresser un regard plein de pitié, contrasté par un demi sourire amusé. Croisé levé gauche, croisé et levé droit. Non mais… Elle achève le pas d’un claquement de doigt, lançant un dernier croisé. Bouillonnante, - car oui, c’est pas très très captivant, de faire ça seul, même si il fait pareil de son côté – elle se retourne pour claquer ses petites menottes contre les grandes mains de son partenaire. M’enfin, je collerais bien autre chose. Et d’un côté, quelques pas, demi-tour, sur soi-même, on reste dos à dos, on se frotte l’arrière train et on revient aux chastes mains. Percé, reculé, elle aimerait le bousculer, mais bon, passons. Elle se penche, le chavire, se redresse. Écarté, et enfin, plaque son corps au sien. Sauf que lui, il est plus long. Alors la brune, les cheveux encore humides par la bruine, répond au dernier appel, et s’écrase sensuellement contre son partenaire avant de faire un brin de danse des hanches. Moment finit, les voilà repartis dans le éhonté. Croisé levé croisé levé, changement de direction. Elle se surprend dans sa moue pincée, et fait un sauté vrillé à peine contrôlé. C’est que ca déborde d’énergie, hein. Bref, c’est tout sourire qu’elle claque dans ses mains, repartant avec lui, aux sarcasmes de la jeune, le laissant à nouveau guider. Non mais.
Dernière édition par Ironie le Mer 7 Aoû - 17:54, édité 2 fois |
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« Gazelle Rebelle Tabasseuse d'enfants »
Matt
Messages : 158 Date d'inscription : 25/12/2012 Age : 27
Feuille de personnage Temps restant: (66/72) Dans ses poches: Rencontres/Découvertes: | Sujet: Re: Il ne pleut plus tralala enfant perdu et sourire tordu. Sam 27 Juil - 19:41 | |
| Putain puis si Février se met à faire la bande son. Il ne peut s’empêcher de lui lancer un regard moqueur, l’air de dire 'en attendant l’air con, tu l’as aussi maintenant'. Ouais cette danse est ridicule. Mais au fond il s’en fout. Parce qu’il est en train de danser avec une brune sexy, alors qu’importe la danse ? Il suit le mouvement, exécute les pas. Il peut presque paraître sérieux, si on omet son sourire lorsque la danseuse se colle à lui. Et le contact de ses cheveux humide le fait doucement dériver vers des pensées… pas très nettes. Puis il se refocalise sur la Carioca. Faisant claquer ses mains dans celle de la brune, balançant ses bras en arrière et sautant. Ils échangent leurs places, recommencent. Puis il croise les jambes, tournent sur lui-même, met les mains dans les poches et ne fait bouger que son pied. Puis il se détache de la danse synchronisé, fait quelques pas de ce qui peut se rapprocher de la danse classique. Il fait voleter ses mains, youhouuu je plaaane. Et prend appuie sur sa partenaire de danse pour lever sa jambe. Il esquisse ainsi la figure du flamant rose. Vous ne connaissez pas ? Lui si, mais ce n’est pas pour autant qu’il y arrive. Il a sans doute mit trop de force en prenant appuie, ou peut-être a-t-il été déséquilibré après. Dans tous les cas, son pied dérape, il chute en avant sur la danseuse, sans vraiment avoir le temps de comprendre ce qui lui arrive. |
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« Âmes Damnées de la Ville »
L'Âme de la Ville
Messages : 757 Date d'inscription : 06/05/2012
| Sujet: Re: Il ne pleut plus tralala enfant perdu et sourire tordu. Mar 30 Juil - 20:08 | |
| Un souvenir. Encore un souvenir, un nouveau cadeau de sa part. Parce que les petits jouets ne sont pas les seuls à aimer s'amuser. Et que si Elle peut s'amuser, Elle, à leurs dépends à eux, c'est encore mieux... Et doucement, le souvenir s'arrête. Juste sous les yeux d'Ironie. Attendant une décision qui n'allait sans doute tarder. - Spoiler:
Un souvenir pour toi, ma petite Ironie ! o/
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« Guerrière tribale ensanglantée »
Ironie
Messages : 582 Date d'inscription : 12/01/2013 Age : 27 Localisation : Savoie
Feuille de personnage Temps restant: (68/72) Dans ses poches: Rencontres/Découvertes: | Sujet: Re: Il ne pleut plus tralala enfant perdu et sourire tordu. Mer 7 Aoû - 22:03 | |
| « Flexibilité.
« Elle le dévisage, inédite. Lui qui soudain ne se dissocie plus d’ elle . Leur corps entremêlés, joints et en fusion avec le sol dur béton. Comment en étaient-ils arrivés là ? Pas que l’idée lui déplaise, d’être ainsi emboîtée. Enfin. C’était si… Si absurde. Elle aurait du s’en douter. Aurait du se méfier, ou rire plus amplement, c’était selon. Après tout, en quoi la situation était désagréable ? Ses idées dérivèrent, et un instant, s’égarèrent. Elle ferma les yeux. Non. Voyons. Tout s'était passé si vite ; elle l’avait observé du coin de l’œil, l’air moqueur, simuler l’on ne sait quel animal ailé, et… Et lui posant ses mains au niveau de ses reins, levant la jambe puis s’écroulant. Misérablement. C’en était presque décevant. Il n’y avait pas même eu de jappements ou de gloussements. Juste une pression, une poigne s’intensifiant alors que penchée, par mécanique, elle se retournait face à lui dans la chute, agrippant son habit au creux de l’épaule d’une main, alors que l’autre battait dans l’air vainement. Elle avait sentit ses pieds se dérober, se heurter et basculer contre ceux du blanc, avait même pu admirer certaines courbes, avant de percuter le sol, se faisant à moitié écraser par l’individu en manque de souplesse. C’était un comble. Non. Un crime. Elle avait alors eu un à-coup, pressant son corps au sien par pur automatisme, se rendant finalement compte qu’elle était bloquée. Sous lui. Ses yeux avaient alors brillé durant une fugace seconde, puis elle s’était reprise, poussant quelque peu sur sa main droite pour inspirer une goulée d’air. Pas qu’il l’écrasait, pas qu’elle était à moitié emboitée, hein. M’enfin. Un sourire instinctif et prédateur avait voulu poindre sur son visage, puis s’était transformé en demi sourire réprimé par l’on ne sait quelle pensée. Et c’est qu’il devait y en avoir, des pensées. Puis elle avait découvert de ses iris d’obsidienne le visage de son partenaire, le trouvant inhabituellement proche. Peut-être trop, même. Mais. Et. Et charmant. A croire qu’elle avait eu un coup sur la tête, pour à ce point le dévisager, presque comme si elle allait le… Manger. N’empêche qu’un ricanement fleurit dans son regard, et redressant son deuxième bras perdu au lointain au dessus de sa tête, elle vint tapoter le torse de l’animal. Il avait bien fait le flamand, non ? Défi, taquinerie, accusation ? La liste était longue, baignée d'ironie et de railleries. A lui de choisir. C'était au plaisir. Un très léger rire lui échappa, et remontant sa main au niveau de la nuque de son binôme quelque peu foireux, fit jouer de ses doigts, faisant don d’une certaine pression. Histoire qu'elle se dégage, se redresse un peu, vous comprenez.Une sphère lumineuse apparue, s’interposa, et par pur reflexe, Ironie ramena sa main à elle. Main au dessus d’elle. Au dessus de Matt. Sur Matt. Ils percutèrent donc le souvenir, le blanc s'avachissant plus qu'il ne l'était déjà, la brune remontant brusquement, comme dans un de ces comiques à moitié raté rendant quasi tragique l’action.
Dernière édition par Ironie le Dim 11 Aoû - 15:35, édité 1 fois |
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« Âmes Damnées de la Ville »
L'Âme de la Ville
Messages : 757 Date d'inscription : 06/05/2012
| Sujet: Re: Il ne pleut plus tralala enfant perdu et sourire tordu. Ven 9 Aoû - 21:09 | |
| Et le souvenir pénètre leurs deux mémoires, les enrichissant de son flot d'émotions et de sensations... - Ironie:
Les rideaux rouges virevoltent autour d'eux. Tout danse. C'est le sol qui tourne, ce sont les tables qui les contournent. Eux, ils sont au centre du monde. Elle, surtout. Elle, hypnotisante, elle hypnotisée, peut-être. Pas encore. Presque. Elle résiste. L'obsidienne se fond dans la délicate couleur noisette. Ils s'observent, s'apprivoisent. C'est un gala dont ils sont maîtres, camouflés dans la pénombre du bord de la piste. Elle mène. Il suit. Elle suit. Il mène. Ils ondoient, serpents élégants parmi l'ignoble foule. Soudain il la serre contre lui, arrête la danse, casse le rythme. La musique s'est tue un instant. Le temps d'un regard, d'une passion grandissante, d'un battement de cœur. Il s'approche, la musique reprend, elle le force à danser. Retenir la fougue corrosive, retenir l'envie de céder. C'est ridicule. Tout cela est ridicule. Un type comme lui ?
La musique meurt et ils s'embrassent. Elle a cédé. Pour la première fois. C'est étrange de ne plus se sentir maîtresse de sa volonté. De ses désirs. Mais ce n'est qu'une danse. Ce n'est qu'une mascarade. Dans quelques minutes elle redeviendra panthère féroce en quête de sa proie. Peut-être. Elle ne sait pas. Son cœur vacille. Quand pourra-t-elle être libre à nouveau ?
- Point de vue externe:
Une femme et un homme dansent, d'une façon à la fois légère et pleine de sensualité. Bruns tous les deux, ils ont l'air très proche. Lorsque la musique décroit puis s'arrête, il l'embrasse -ils s'embrassent- avant de se séparer, la laissant avec un air un étrangement pensif.
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« Gazelle Rebelle Tabasseuse d'enfants »
Matt
Messages : 158 Date d'inscription : 25/12/2012 Age : 27
Feuille de personnage Temps restant: (66/72) Dans ses poches: Rencontres/Découvertes: | Sujet: Re: Il ne pleut plus tralala enfant perdu et sourire tordu. Sam 10 Aoû - 18:29 | |
| Il n’a pas le temps de savourer la proximité de la brune. Juste le temps d’apprécier avant que son visage ne soit remplacé par une vive lumière. Une pression et sa tête est plongée dans le souvenir, il effleure le visage de la brune et dérive dans ce fragment de mémoire. Qui n’est pas le sien. What the fuck ? Genre on peut voir les souvenirs des autres ? Cool. Il observe la brune danser avec un autre, tout en se disant que si l'on peut voir les souvenirs des autres, on peut peut-être les empêcher de les voir, les voler en somme. Il essaierait plus tard, pour le fun. Quand le souvenir s’efface, il se retrouve le visage dans les cheveux de la jeune femme. Relevant légèrement la tête il lui murmure un « Désolé, j’ai glissé », avec un regard amusé toujours emprunt d’un certain désir. Non, le souvenir n’a rien refréné en lui. La voir avec un autre, et alors ? Y a qu’les imbéciles pour croire qu’ils sont les premiers. Surtout avec une nana aussi sexy. Sa main s’appuie sur le béton, l’autre va se poser dans le creux du dos de la brune et il se redresse, la serrant contre lui. Une fois debout, il plonge son regard gris dans les yeux bleus profonds l’air de dire « bon on la continue cette danse ? ». Même si dans sa tête il pense à un autre style danse. Celle qui se passe à l’horizontale. |
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« Aime bien parler pour ne rien dire »
Février
Messages : 44 Date d'inscription : 01/11/2012 Age : 29
Feuille de personnage Temps restant: (30/72) Dans ses poches: Rencontres/Découvertes: | Sujet: Re: Il ne pleut plus tralala enfant perdu et sourire tordu. Lun 12 Aoû - 12:05 | |
| Février les regarde en croisant les bras et en tapant du pied. Ça pourrait être qu'elle bat la mesure pour rythmer leur danse absurde. Autant au début c'était un peu drôle. Autant là ça l'ennuie carrément. Alors non, c'est juste de l'impatience. La danse, c'est naze, de toutes façons.
« Bon, on y va, Don Juan ? Sauf si tu préfères faire le flamant rose comme une tapette toute ta vie. »
La deuxième phrase est pleine de provocation et d'espièglerie. Elle lui lance un sourire moqueur-gentil, par opposition au sourire moqueur-méprisant que Matt lance souvent à tout le monde, et fait quelques pas en direction... En direction de quelque part. Parce que clairement, elle ne sait pas où elle va. Elle va, c'est tout. S'arrête. Se retourne. Les attends.
Vous venez, les tourtereaux ? Parce que je tiendrai pas la chandelle. Elle la fera plutôt tomber. La cire, ça tache, le feu, ça brûle. Dommage. |
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« Guerrière tribale ensanglantée »
Ironie
Messages : 582 Date d'inscription : 12/01/2013 Age : 27 Localisation : Savoie
Feuille de personnage Temps restant: (68/72) Dans ses poches: Rencontres/Découvertes: | Sujet: Re: Il ne pleut plus tralala enfant perdu et sourire tordu. Sam 17 Aoû - 23:39 | |
| « C’est pas joli, c’est sexy. « Les fragrances s’enfuient, la vision s’oublie. Elle va pour se redresser, est écrasée, mais se retrouve bien vite au ciel. Enfin. Debout. À la verticale, quoi. Sur ses pieds, elle reste un moment accrochée. La vertige, vous comprenez, on s’habitue vite à l’horizontal, dans ces conditions là. Herm. Conditions. Le souvenir, hein. Pas les entremêlas brouillons de jambes et mains. C’est évident, voyons. Et pourtant, sur son visage, c’est tout autre chose qui s’image. Non de la nostalgie, de l’amour ou de l’envie. Pas même du mépris. Juste un terrible et immense ennui. Qu’est-ce que j’en ai bien à faire de me voir danser avec un mec passablement laid, carrément imparfait, qui me mentait et j’en passe des bonnes et des meilleures ? Semblent hurler son regard et sa moue légèrement dégoutée. Puis le moment passe. Comme par magie. Elle se remémore la présence virile presque désirable, puis, plus longtemps après, la fille. Qui s’impatiente. Alors Ironie s’adosse. Face à la brune, elle pose machinalement une épaule contre le blanc, bras croisé. Un sourcil se hausse. Quoi ? Une seconde s’éternise, puis elle laisse filtrer un mince sourire. Plus prédateur qu’amical, comme esquisse, mais bon, passons. Elle tapote le torse de son nouvel appui, histoire de faire passer un petit « On la finira plus tard, flamant-glisseur-tapette-Dom-Juan. » totalement narquois et amusé, puis se redressant souplement, elle passe une main évasive dans ses crins. « Vous voulez marcher ? Pas que ca me dérange, sinon, j’ai une voiture. » « Après, tu devras aller derrière, le blanc rentre pas côté banquette, je sais pas si tu le supporteras. Visage rendu mi paisible mi moqueur par la pensée, la brune fait volte face en direction de ses affaires, vérifie machinalement ses armes alors que penchée, elle endosse le fusil à pompe et prend le sac à la main, en grande blasée. C’est qu’elle se serait presque sentie en mission, sans ce truc en toile. Mission espion, évidemment. Y'avait même la chemise encore imbibée pour mettre dans l'atmosphère. Sexy, non ? |
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« Gazelle Rebelle Tabasseuse d'enfants »
Matt
Messages : 158 Date d'inscription : 25/12/2012 Age : 27
Feuille de personnage Temps restant: (66/72) Dans ses poches: Rencontres/Découvertes: | Sujet: Re: Il ne pleut plus tralala enfant perdu et sourire tordu. Mar 20 Aoû - 10:41 | |
| Wesh j’suis pas une tapette là. Il s’indigne mentalement des paroles de Février et finit par lui lancer un sourire narquois. Alors, elle est jalouse la Lionne ? Et puis il sert d’appui à sa partenaire de danse. C’est génial, je serais un mur ça serait la même chose. Bon en fait une meuf sexy qui s’adosse à lui ça le dérange pas tant que ça mais il aime bien râler pour la forme. Et aussi pour le fait qu’elle le tapote comme un chien. Non, il ne comprend pas la subtilité du geste sur le moment, faut pas trop lui en demander non plus. Et puis son attention est attirée par ce qu’elle dit. Une voiture ? Elle aussi elle a une voiture qui se conduit toute seule ? Genre, c’est quoi ce favoritisme ? Alors qu’il va pour demander à Février si elle a une idée d’où aller, il aperçoit les armes que récupère l’autre brune. C’est des vrais ? Et puis son regard glisse sur les tâches de sang qui obscurcissent sa chemise. Mais elle est dangereuse c’te nana. Il se dit un instant qu’il ne faudrait mieux pas trop l’embêter. Et puis il rejette cette précaution. Il fait ce qu’il veut, vous croyez quoi ? Et ce qu’il veut là, c’est un des flingues. Pour buter ceux qui le font chier, genre Gabriel s’il le recroise. Ouais, ça serait grave cool. Mais pas sûr que l’autre veuille bien lui prêter.
- C’est une voiture qui se conduit toute seule ? Ah et moi c’est Matt.
Il la regarde un instant, attendant de savoir son nom, ou pseudo qu’importe. Puis il se tourne vers Février pour lui demander :
- T’as une idée d’où aller ?
Parce qu'à part errer inutilement on peut pas faire grand-chose d’autre dans c’te ville.
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« Aime bien parler pour ne rien dire »
Février
Messages : 44 Date d'inscription : 01/11/2012 Age : 29
Feuille de personnage Temps restant: (30/72) Dans ses poches: Rencontres/Découvertes: | Sujet: Re: Il ne pleut plus tralala enfant perdu et sourire tordu. Ven 23 Aoû - 10:30 | |
| Elle hausse les épaules. Est-ce qu’il croit qu’elle sait où aller mieux que lui ? Non, bien sûr que non. Son instinct Févriesque lui hurle d’aller explorer les endroits funs et dangereux, mais comme elle ne sait pas où il y en a, ni si il y en a… Et puis, y’a cette brune, là, avec ses vraies armes et sa voiture. Ses vraies armes, quoi. Genre, mieux que le pistolet à Paintball. C’est des vraies balles, avec une vraie détente, tout ça… Bon, ok, c’est grave dangereux, aussi. Mais ça peut toujours servir pour actionner des leviers, ou faire céder des cordes, comme dans les jeux vidéo d’exploration. Ou pour faire sonner les cloches de l’église à distance et enquiquiner tout le monde, aussi. Ça serait marrant, ouais. Mais elle sait pas, du coup.
« La voiture, c’est bien », fait-elle à la femme. « Moi c’est Morgane, au fait. Et toi ? » Puis d’ajouter à l’intention de Matt : « Je sais pas, dans un endroit marrant ? Parce que les trucs en ruine, s’il se passe rien dedans, ça a ses limites, quoi. »
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« Guerrière tribale ensanglantée »
Ironie
Messages : 582 Date d'inscription : 12/01/2013 Age : 27 Localisation : Savoie
Feuille de personnage Temps restant: (68/72) Dans ses poches: Rencontres/Découvertes: | Sujet: Re: Il ne pleut plus tralala enfant perdu et sourire tordu. Ven 23 Aoû - 18:53 | |
| « Emiko. » Mot murmuré à proximité du blanc. De Matt. Elle ne sait pas pourquoi il est sorti, elle ne sait pas pourquoi elle l’a dit. Elle le devance rapidement, sa démarche fauve aidant. Puis la brunette, Morgane, s’exprime quelques secondes après. Des questions, toujours des questions. Ironie ne s’arrête pas, elle n’est pas comme ça. Puis, enfin, elle se stoppe, fait volte face. « La voiture, c’est au choix. Je peux conduire ou elle peut le faire. Tu en as déjà croisée une ? » Ton neutre, moue impassible. Ou presque. La question forme quelque chose au fond de ses prunelles. Un vieux tacot tout moche ? Ils sont encore en vie ? Elle ne sait pas si elle doit s’y intéresser, ou s’en foutre. Après tout, quelque chose lui dit que ce n’est pas eux, et qu’eux, sont déjà loin, loin dans la démence, aussi, peut-être. Enfin, elle n’est pas là pour s’en faire. Au pire, je finirai un membre dedans. Sourire peiné, presque mauvais. Beauté glaciale, elle ne déride. Une seconde passe, elle redevient féline. « Venez, c’est tout prêt. » Narquoise, elle les défierait presque d'oser la suivre. « Des choses amusantes, hein ? » Rire qui suit la phrase lâchée. Si vous saviez. |
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| | Sujet: Re: Il ne pleut plus tralala enfant perdu et sourire tordu. | |
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