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Noan ▬ J'ai, pour me retenir ; trois fois, trois fois rien ♫

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Retourneuse de crêpes cadavres
Noan
« Retourneuse de crêpes cadavres »

Noan

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MessageSujet: Noan ▬ J'ai, pour me retenir ; trois fois, trois fois rien ♫   Noan ▬ J'ai, pour me retenir ; trois fois, trois fois rien ♫ Icon_minitimeMer 6 Fév - 16:47


Fini le silence, juste un peu d’air

« À chaque mot une phrase ; pour chaque phrase un vers ; je ne noterais plus, je ne laisserais plus faire ; oublier, la petite voix délétère ; oublier, les heures »
Get it ?

Noan. Jeune femme d’apparence banale. On pourrait espérer une faculté plutôt développée à se fondre dans la masse, une capacité à se fondre dans l’exacte moyenne et à vivoter paisiblement. Ce que l’on voit comme une taille mannequin, adulte depuis peu, on la verrait presque rire aux éclats avec des amis du même âge. Peut-être. Peut-être a-t-elle été de ceux-là. J’irais jusqu’à dire que je l’espère pour toi. Mais ton arrivée ici t’as changée, n’est-ce-pas ? Et elle refuse de l’entendre, ne se laisse pas compter, par la Ville qui l’a choisie comme poupée, par cette envie de retorse de se replonger dans un passé laissé derrière. Elle ne reconnait aucun droit aux autres sur elle ; ne les connait. Les rencontres ? Rare qu’elle s’y attache, rare qu’elles lui arrachent un rire ou une larme. Des émotions qui restent intérieures qu’elle oublie trop souvent de prendre en compte. Des actions parfois trop réfléchies. Parce qu’elle a décidé d’avancer, quitte à se prendre le mur. De ne pas vivre avec ce passé, son passé. Peur ou réel choix ? Les deux sont bien trop liés. Mais elle veut comprendre. Pourquoi elle. Comment sont choisis ceux qui atterrissent ici. Quelles sont ces ombres qu’elle a cru voir danser dans les recoins. Pourquoi l’abandon total de la ville. Comment un tel endroit peut-il seulement exister ? De même pour ces souvenirs, matérialisés sous forme de sphères lumineuses. Leur fonctionnement lui échappe. Il n’est pas question de se laisser aller à une quelconque déprime due à son amnésie, de se laisser aller tout court, ni de chercher à rattraper des mânes  de souvenirs. Le sable glisse : il y a à chercher et à trouver.
Burps

Blablabla

Thks fr th Mmrs

Premier souvenir :
Bip... bip... bip... Le bruit écorche ses oreilles à intervalle régulier. Pourquoi ce son désagréable ne disparaît-il pas ? Elle lève une main, comme pour arrêter un réveil. La douleur la ramène brusquement à la réalité, et les bips s'affolent tandis qu'un souvenir récent lui revient. Un homme, à califourchon sur elle. La poigne qui enserre ses poignets, au-dessus de sa tête. Le sourire cruel qui s'étale sur ses lèvres lorsqu'il promène une lame à quelques millimètres de sa peau, la faisant frissonner de peur. « Alors ma belle ? On met son petit nez dans les affaires des autres ? Je vais te montrer ce que ça entraîne... ». Le sang, enfin, qui gicle. Elle n'arrive plus à se rappeler si elle a crié. Si elle s'est débattue.
« 10 mg de morphine en perfusion, vite ! ». La poigne solide du médecin est comme une ancre qui la relie au présent. Une seringue s'enfonce dans son bras, le liquide se répand dans ses veines, amenant avec lui un bien-être illusoire. Elle sent sa conscience disparaître progressivement. Une voix résonne à côté d'elle, une main dans la sienne. « Grande sœur... ça va aller. T'es à l'hôpital. » Elle voudrait retirer sa main. Elle sombre dans l'inconscience avant d'avoir trouvé la force de le faire. La douleur dans sa poitrine disparaît enfin. Les bips ont retrouvé leur régularité.

Deuxième souvenir (non vu par le personnage) :
Elle marche dans la salle d'entrainement, son fleuret dans sa main droite et son masque sous son bras gauche. Ses pas la mènent vers la petite dernière, une jeune aux cheveux rosés. Celle-ci est en train de se préparer pour se battre, elle l'appelle donc. « Hey, toi, la nouvelle, ça te dirait un petit combat ? ». La concernée redresse sa tête, plongeant ses yeux saphir dans les siens. Elle peut discerner un semblant de détermination et de joie dans son regard azur. Ses yeux se posent sur ses lèvres où un sourire venait de naître. « La nouvelle s'appelle Anju ! Et j''accepte le challenge, tu vas regretter de m'avoir défiée. ». Elle rit intérieurement, comme si une débutante pouvait la battre, avec son expérience. Elle prend place avec son adversaire sur la piste de combat, enfile son masque et se met en position, fleuret en avant. Elle l'observe, attentive, prête à parer toutes éventuelles attaques. Anju se jette sur elle, elle la contre sans difficulté. Trop facile. Elle la touche au bout de quelques secondes et lui fait perdre l'équilibre, la jeune femme aux cheveux roses tombe en arrière, atterrissant sur son postérieur.

Un rire s'élève à coté de la piste de combat. Elle tourne la tête et examine du regard la belle jeune femme à l'origine de ce rire. Son regard semble être posé sur l'escrimeuse au sol, elle la contemple à son tour avec un sourire amusé, les nouveaux, il faut les remettre à leur place, eux et leur égo surdimensionné. Elle se prépare à partir, quitter la piste de combat, se disant que décidément, elle perd son temps avec des novices. Des bruits de pas accélérés retentissent et semblent arriver droit dans sa direction. Elle se retourne juste à temps pour parer l'offensive de la plus jeune. Coriace pour une débutante, elle a de l'énergie à revendre ! Elle la bat une nouvelle fois, deux victoires d'affilées. Satisfaite, elle lui tend la main pour l'aider à se relever, un grand sourire affiché sur le visage. « Si tu veux, je peux t'aider à progresser, tu as déjà de bonnes bases. ». Anju détourne la tête : « Je comptais te le demander, mais j'osais pas... ». Elle retire son masque et rit doucement. « Il suffisait de demander, tu vois, je t'ai pas rejetée. A vrai dire, c'est même moi qui t'ai proposé. ».
Bref

Cours pauvre enfant, cours pour chercher des réponses... ▬ Feat Wheat & Strider
Réveil dans le train. Bref temps de panique, le temps de se rendre compte du contexte. Un train, ancien. Seule. Plus pour longtemps. Dans le wagon jouxtant le sien, elle tombe d’abord sur un adolescent blond, l’air totalement perdu, incapable de répondre à ses questions, puis sur un macho inégalable, et en de hauts esprits à ce moment. Ne voyant aucun intérêt à subir leur compagnie plus longtemps, elle les plante là et sort de la gare.

Oh my mind’s racing, chasing pirates ♫ ▬ Feat Strider & Nobody & Wheat
Noan ayant quitté le groupe rejoint le quartier résidentiel et checke ses possessions. En profite pour revêtir des affaires plus pratiques. Strider la rejoint, ils réveillent Nobody qui dormait là, laquelle reçoit alors un souvenir, que le brun voit accidentellement lui aussi. Ce dernier s’en prend alors à la jeune fille. Noan s’interpose, sans raison, et Strider la dégage. Ils ont alors tous deux droit à un souvenir chacun, qui semblent étrangement identiques. Nobody voit également celui de Noan. Wheat les rejoint et se fait proprement ignorer, juste avant que la Ville ne les endorment tous.

Tout va bien se passer, nee ? ▬ Feat Ēkā & Ombre
À leur réveil, les trois jeunes femmes se retrouvent dans la Rue Sans Fin. Ēkā et Ombre semblent blessées. Noan fait semblant de toujours dormir afin d'essayer de retirer des informations jusqu'à ce qu'Ombre, dans un accès de rage, hurle au meurtre. Après un court échange d'information, et à cause de la tension qui règne, Eka et Ombre suivent une autre partie de la Rue, se séparant. Noan reste plantée au milieu, et dans l'attente ne trouve rien de mieux à faire que de déclarer la guerre à la Ville.

Monday : assembly line ▬ Feat une femme qui vend du rêve
Noan se met en route, et débouche au Commissariat. Des traces d'occupation récente. Et quatre issues. Et cette porte verrouillée en acier, trop tentante pour être ignorée. Seulement, la voiture affiliée au commissariat s'en mêle, et après légère altercation, la jeune femme et la machine se retrouvent à coopérer.

Alors j'ai tenté de devenir une criminelle. ▬ Feat Dame & Bigoudi
Ayant laissé la voiture se diriger seule, ce qui devait arriver arriva : la brune finit par tomber, dans tous les sens du terme, sur Dame. Une voiture dans les dents, ça fait jamais du bien, à ce qu'il parait. Après un quiproquo « Non non je te traitais pas de conne de traverser sans regarder non je m'insultais toute seule en fait », elles sont rejointes par Bigoudi. Noan accepte de servir de chauffeur et il est donc décidé qu'elle les déposera aux limites de la ville. Elle, « elle n'en a pas fini ».

Welcome to the land of questions; welcome to the isle of lore; were the veile came crumbling down. ▬ Feat Dame & Bigoudi
Après avoir traversé le pont, le trio se retrouve au nord de la ville. Pour tenter de se situer, elles prennent de la hauteur dans l'église. Au manque d'étonnement général, la ville leur ménage un escalier sur la paroi. Noan s'attribue enfin son pseudo, et refuse le souvenir qui apparaît. Le trio se remet ensuite aux fouilles dans les papiers qui regorgent du bureau, seul élément notable d'une petite pièce, à l'emplacement improbable. Après une altercation, elles veulent se remettre en route, mais Dame a disparu, enlevée par la Ville.

Ainsi vont vont vont ; Tes petites marionnettes. ▬ Feat Bigoudi
Elles ont repris leur route - la jeune femme accompagnant finalement Bigoudi, toujours en direction des limites la ville, et découvrent le gel bleu, dans les champs. Décident de continuer leur route vers le bâtiment au loin.

Press « enter » to start. ▬ Feat Bigoudi & Virginie & Stradivarius & Dragon
Les deux femmes, une fois arrivées à la station d'épuration en dehors de la ville, rencontrent Stradivarius et Virginie, celui-là recevant un souvenir après qu'ils aient été envoyés ici par Nulle Part. Les trois femmes entament l'exploration sans lui, et dans le sas d'entrée, trouvent un cadavre.
Survient alors Dragon.

As time goes by

Arrivée le deuxième jour selon la chronologie générale de Nulle Part
Tranche horaire d'arrivée ▬ Noan ▬ J'ai, pour me retenir ; trois fois, trois fois rien ♫ 3247343333 02h-04h
Tranches horaires jouées ▬ Noan ▬ J'ai, pour me retenir ; trois fois, trois fois rien ♫ 3247343333 02h-04h  Noan ▬ J'ai, pour me retenir ; trois fois, trois fois rien ♫ 1550624631 06h-08h  Noan ▬ J'ai, pour me retenir ; trois fois, trois fois rien ♫ 2794341666  08h-10h  Noan ▬ J'ai, pour me retenir ; trois fois, trois fois rien ♫ 50897519 10h-12h  Noan ▬ J'ai, pour me retenir ; trois fois, trois fois rien ♫ 2084913611 12h-14h [En cours] [-12h]
Souvenirs récoltés ▬ Un, partagé avec Nobody [+3h]
Souvenirs refusés ▬ Un, à l'église. [-50h]
Bilan horaire ▬ 72-12+3-50 = 13
Découvertes
▬ Le vieux train qui semble rester à l'arrêt. (WTF.)
▬ Les souvenirs sortis comme de nulle part. (WTF2.)
▬ La voiture de police du commissariat.
▬ L'escalier qui apparait sur le mur de l'église. (Terrain modifiable selon le gré du sociopathe qui dirige ce bordel.)
▬ Le bureau encombés de papiers traitants de la ville en haut de l'escalier (La nourriture entraîne des métamorphoses étranges ; )
▬ La perte d'heures en voulant ignorer un souvenir. (Et BIM! dans tes deeents. ♪)
▬ Le machin-chose bleu dans les hautes herbes à l'extérieur de la ville. (Ça se sniffe tu crois ?)
▬ Le cadavre (relativement bien conservé) du sas d'entrée de la station d'épuration. ( « Abandonnez tout espoir, vous qui entrez. » )
Dance  Dance

Âge apparent ▬ 20/23 ans
Signe particulier ▬ Cicatrice cruciforme sur l’abdomen
Capacités particulières ▬ Une épée, un sabre, un fleuret en main, tu es soudain moins fier face à elle
Connaissances ▬ Dans le domaine des sciences techniques/de l’ingénieur
Pseudo ▬ Explication ? Y en a pas. C'est Noan. C'est comme ça. C'est juste par choix.
Blablabla

Icons

Noan ▬ J'ai, pour me retenir ; trois fois, trois fois rien ♫ Noanicon0  Noan ▬ J'ai, pour me retenir ; trois fois, trois fois rien ♫ Noanicon1  Noan ▬ J'ai, pour me retenir ; trois fois, trois fois rien ♫ Noanicon2  Noan ▬ J'ai, pour me retenir ; trois fois, trois fois rien ♫ Noanicon3 Noan ▬ J'ai, pour me retenir ; trois fois, trois fois rien ♫ Noanicon4 

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