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Evolution de la Pomme

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Jouet fraîchement arrivé
Enzo
« Jouet fraîchement arrivé »

Enzo

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MessageSujet: Evolution de la Pomme   Evolution de la Pomme Icon_minitimeMer 3 Avr - 16:19



apple


Première Journée
Evolution de la Pomme 2794341666 08h-10h
Oh ! Une pomme pote *___*
► Isis  ► Tenor ► Doliprane
Gain : /
Souvenir : Souvenir de base
PNJ : La meute  (Bounty)
Découvertes : Un loup rode en ville et il est possible de se faire téléporter.
Malus/Bonus : /
Evolution de la Pomme 5089751910h-12h
Dieu et le fruit défendu
► Dieu ►Joke ►Aout ►Xéna
Gain : /
Souvenir : Souvenir n°1 Souvenir n°2
PNJ : L'âme de la ville
Découvertes :  Les boules lumineuses portent des souvenirs.
Malus/Bonus: /
Evolution de la Pomme 5089751910h-12h Evolution de la Pomme 2084913611 12h-14h
Un p'ti plongeon ?
► Joke ►Aout ►Xéna ►Symphonie ►Faith
Gain : sifflet du chat autour du cou
Perte : vêtements sauf sous-vêtement et lunettes
Souvenir : Souvenir n°3
PNJ : L'âme de la ville
Découvertes : Une créature se trouve dans le lac et les algues sont dangereuses au fond
Malus/Bonus : /
Evolution de la Pomme 208491361112h-14h
Retour aux sources ♫
► Faith
Gain : /
Souvenir : Souvenir n°4
PNJ : L'âme de la ville
Découvertes : /
Malus/Bonus : /
Evolution de la Pomme 2025713651 14h-16h
Une blessée à sauver !
► Faith
Gain :
Souvenir :
PNJ :
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:couleur: Heure
Titre
► x
Gain :
Souvenir :
PNJ :
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Malus/Bonus :

Récapitulatif :
Souvenirs gagnés : 4 (+8h)
Temps volé: + 0h
Temps perdu : + 0h

Bilan horaire  : 72 - 6 + 8 = 74 heures au compteur


Dernière édition par Enzo le Jeu 5 Sep - 7:29, édité 30 fois

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Enzo
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MessageSujet: Re: Evolution de la Pomme   Evolution de la Pomme Icon_minitimeMer 3 Avr - 16:34



souvenirs


Souvenir de base


"Alors, est-ce que quelqu'un a une idée de ce que donne cette réaction ?"
Il promène son regard sur l'assemblée qui l'écoute plus ou moins. Soupire discrètement. La fin de la journée est toujours la plus difficile, pour tout le monde pareil. Au moins, le brouhaha ambiant n'est pas à un niveau insupportable. Ses yeux accrochent soudain un regard dans la masse. C'est elle, qui l'observe. Captivée, comme toujours. Il se retient de lui adresser un petit sourire. Que penseraient les gens, si ils savaient ?

Souvenir n°1


Elle crie. De toute ses forces. Comme si c'était la première fois de sa vie qu'elle criait comme ça. Comme si elle se soulageait d'un poids immense. Et c'était sans doute le cas. Quand il avait entendu frapper à la porte, il avait immédiatement compris que c'était elle. Qui d'autre, à une heure pareille ? Il l'avait laissée entrer. Elle avait vraiment mauvaise mine. Il avait faillit lui faire remarquer. Mais il ne manquait pas de tact. Pas à ce point. Elle avait commencé à parler de ce qui s'était passé, et très vite, elle avait haussé le ton, des larmes coulant sur ses joues. Et elle n'avait pas cessé depuis. « Et tu crois vraiment que c'est ma faute ?! Tu as enquêté à ce point sur moi, alors pourquoi tu ne sais pas, hein, pourquoi tu ne comprends pas ?! ». Elle agite les mains avec des gestes nerveux. Jamais il ne l'a vu comme ça. Les cheveux en bataille, le ruban qui les retenait à moitié défait, ces traces humides sur ses joues rougies, ces larmes de colère et de douleur. Elle lui semble plus sauvage aussi. Comme un animal qu'il faudrait apprivoiser. Non, il ne l'a jamais vue comme ça. Et il la trouve belle, ainsi, si fragile, si naturelle. Lorsqu'il parle, sa voix reste mesurée.  « Ça ne sert à rien que tu t'énerve ainsi. Écoute...raconte moi... raconte moi. J'ai besoin de comprendre un peu mieux ce qu'il se passe ». Il la prend par la main, l'emmène jusqu'au salon, la fait asseoir sur le canapé. « Une tasse de café ? De thé ? » Il sait qu'elle adore le thé. Le thé vert japonais, pour être plus précis. Il se rappelle qu'il lui en a fait venir un paquet, peu avant toute cette histoire. Comme pour confirmer ses pensées, elle balbutie le mot thé, renifle légèrement, essaye d'essuyer ses larmes. Et il se sent coupable, d'être le responsable de toute cette douleur.
Tandis que l'eau chauffe, il va s'asseoir à côté d'elle, lui tend un mouchoir, auquel elle s'accroche comme à une bouée de secours. « Alors... commence par le début, d'accord ? » murmure-t-il d'une voix douce. Elle hoche la tête pour simple réponse, et plante ses yeux humides dans les siens. « C'est à cause de mon père... »

Souvenir n°2


La sonnerie retentit, vrillant ses oreilles, et aussitôt, les élèves se lèvent, comme si ils avaient le feu aux trousses, comme si leur vie dépendait de cette seconde où ils pourront enfin s’échapper par les portes du grand amphithéâtre. Il pousse un long soupir tout en rangeant ses affaires. Enfin, enfin la journée est finie. Il va pouvoir rentrer chez lui tranquillement. Il sort de la grande salle, donne un tour de clé dans la serrure avant de se mettre à marcher tranquillement dans le couloir. Doucement, ses pensées s’envolent vers son collègue, là-bas, presque à l’autre bout du monde. Que devient-il ? A-t-il enfin aboutit aux résultats espérés ? Les moments passés avec lui dans le laboratoire qu’ils partageaient lui manquent un peu. Beaucoup. Déjà une semaine que tout ça s’est terminé… Et il chemine ainsi, perdu dans tout ce qui occupe sa tête, toutes ces choses à la fois futiles et essentielles. Aussi, lorsqu’elle passe dans le couloir en courant presque, il a du mal à être sûr que les larmes qu’il a vu dans ses yeux sont bien réelles. Il la suit du regard lorsqu’elle le frôle dans sa course sans y faire attention.
Après une demi-seconde d’hésitation, il se lance à sa poursuite, couvrant la distance qui les sépare assez rapidement, pour attraper son poignet et l’arrêter dans ses mouvements. La jeune fille se retourne, et son hésitation devient certitude en voyant les larmes qui roulent sur ses joues. « Qu’est-ce qui ne va pas, Faith ? ». « Pro…professeur Lorente… » balbutie-t-elle avant d’étouffer un sanglot, secouant la tête comme pour se convaincre que tout va bien. Il observe, fasciné, le mouvement des mèches, leur couleur si particulière, la lumière qui joue dedans. Avant de se menacer intérieurement en se rendant compte de ses pensées. Il s’éclaircit doucement la gorge tout en réfléchissant à toute allure à ce qu’il va bien pouvoir lui dire pour qu’elle cesse de pleurer. « Je sais que… qu'on ne se connait pas vraiment mais… je peux rester silencieux, ou t'écouter ou encore te prêter une épaule pour pleurer si ça peut t'aider. » Il se sentirait presque stupide, de dire ça à une élève. Quelle idée lui a donc traversé l’esprit ? Et comment va-t-elle le prendre ? Mais, étonnement, pour toute réponse, elle se jette contre lui, le visage enfouit dans son pull, et pleure de plus belle. Raté ! Il jette un regard gêné aux alentours, et constate avec une sorte de soulagement qu’ils sont seuls. Car si on les voit, alors il… « C’est… c’est mon frère… ». La petite voix, comme cassée, le ramène soudainement à la réalité, et il entoure les épaules de la jeune fille de ses bras, dans un mouvement protecteur. « Là, là, ça va aller, tu verras, ça ira. » Oui, sauf que ça, il n’en sait trop rien.

Souvenir n°3


Il se faufile dans les buissons, aussi silencieux que possible. Il peut sentir son cœur battre dans sa poitrine, comme si il allait soudain exploser. L’adrénaline court dans ses veines, dilate chaque pore de sa peau, exalte ses sens. Le sang bat à ses tempes, le rendant comme sourd aux bruits extérieurs. Il n’y a plus, dans ses yeux, dans sa tête, dans son corps tendu, que ce petit bout de tissu rouge qu’il aperçoit à travers le feuillage. Ses pupilles se plissent doucement, deux fentes sur son visage, marquant sa concentration intense.
Il hésite, immobile, crispé. En alerte. Le chant d’un oiseau, tout près, le fait sursauter. Il n’y a aucun autre bruit. Et puis soudain, c’est comme l’apocalypse, quelque part à sa droite. Des cris, des pas, des cavalcades. Et une sorte de hululement. Il sait. Il sait que c’est maintenant, pas à un autre moment. Il sait que ces cris, c’est son occasion. Alors il commence à courir, courir plus vite, en direction du petit tissu rouge, attaché à une grande branche, planté dans le sol. Devant lui, la pente défile, avalée par ses foulées, de plus en plus rapides. Personne en vue, la place est déserte. Ses coéquipiers ont bien travaillé, et l’attaque est plus que parfaite. 

Si on omet la racine. Cette fichue racine. Qui, plantée dans le sol comme si elle avait toujours été là, lui attrape le pied. Enfin, ça, c’est la façon dont il le ressent. Disons simplement que la racine avait en effet toujours été là, et qu’il n’avait simplement pas regardé où il mettait les pieds. Et le voilà qui roule comme un tonneau sur le sol, pour finir sa course au pied du petit drapeau rouge, la chemise et le short pleins de boue. Maman va me tuer ! songe-t-il avec terreur en contemplant les tâches maronnasses avec un air catastrophé. 
Un coup de sifflet strident résonne dans le grand parc, sonnant la fin de la partie, tandis qu’un rire clair et cristallin éclate dans son dos, le faisant se retourner d’un bloc. Une petite blondinette le contemple, les yeux plissés par l’amusement, le corps secoué de ses éclats de rires. « Mon pauvre Enzo ! Belle glissade ! ». Il soupire, attrape la main qu’elle lui tend pour l’aider à se relever. Oui, à cause de lui, toute l’équipe a perdu.  Il récupère son foulard qu’il avait glissé à sa ceinture et le passe autour de son cou avec une mine contrite, qui fait sourire sa camarade. Il tend l’oreille en entendant la voix d’un des chefs : « Aller les enfants, c’est l’heure du goûter ! Ça serait dommage de mourir de faim après tant d’aventures ! ». La petite main de son amie se glisse dans la sienne et ils s’élancent en direction du local, affamés.

Souvenir n°4


Il réalise a peine le mouvement que fait sa main pour saisir le frêle poignet de son étudiante. « Attend ! ». Elle met quelques secondes avant de se retourner pour le regarder. Et il peut voir sur son visage à quel point elle est chamboulée. « Faith... je... je suis ton professeur, tu le sais, et tu sais que ce n'est pas.... ». « Pas possible, je sais bien. Alors laissez moi partir, je dois y aller ». Malgré ce qu'il vient de dire, il n'arrive pas, ne peut pas se résoudre à la lâcher, à la voir s'éloigner. Parce qu'il sait qu'elle est fragile, elle le lui a déjà montré. Et s'il la blesse aujourd'hui, peut-être qu'elle ne se laissera plus jamais approcher. « Faith. Viens avec moi, d'accord ? S'il-te plait ». « Où ça ? », murmure-t-elle, toujours sans le regarder. « Chez moi. Je veux qu'on parle un peu. Je t'offre un café, un thé, ce que tu veux ». Les yeux de son élève brillent fortement à l'évocation du thé, et il ne peut retenir un rire. Décidément, elle a quelque chose, quelque chose de plus que les autres.


Lorsqu'il pousse la porte de son appartement, il se demande un courte seconde ce qu'elle en pensera. Comme si son avis avait une importance particulière. Et c'est sans doute le cas. « Voilà, entre, installe toi. Fais comme chez toi, d'accord ? ». Enlevant son manteau, il se dirige vers la cuisine. Du thé, trouver du thé, pour voir encore son sourire et ses yeux qui brillent... Du coin de l’œil, il la voit hésiter, s'installer au bout du canapé, son sac sur ses genoux, et la voilà qui détaille son environnement avec curiosité et timidité. Tellement mignonne. « De quoi est-ce que vous vouliez parler ? ». « Tu ne crois pas qu'après m'avoir volé un baiser tu peux me tutoyer ? ». Il n'a pas pu s'empêcher de la taquiner. Et puis dans son esprit à lui, la douceur du baiser est toujours omniprésente. Elle pique un fard, répond d'une voix un peu piquée. « Je.. je ne peux pas faire ça, je ne vais pas y arriver ! Vous êtes mon professeur après tout, c'est vous qui l'avez dit, c'est pour ça qu'on ne peut pas... ». Elle laisse sa phrase en suspend, et c'est en réfléchissant à ses mots qu'il s'installe à côté d'elle dans le canapé, pose deux tasses fumantes sur la petite table basse devant eux, avant de se laisser aller en arrière avec un soupir. « Il n'y a pas que ça, Faith... Il y a d'autres raisons. Des choses auxquelles je refuse que tu sois mêlée. Je ne suis pas aussi 'parfait' que tu crois ». Elle fixe, et il lit dans son regard une curiosité forte, mêlée à un il-ne-sait-quoi. « Alors dites moi, dites moi ce que je dois éviter d'aborder, ce à quoi je ne dois pas être mêlée, parlez moi de vous. Parce que moi, je vous ai tout raconté, vous savez, tout. C'est injuste ».

Elle a cette adorable petite moue boudeuse sur le visage, qui le fait sourire de nouveau. « Si seulement c'était si simple. Mais je suis en grande partie, voire en totalité tenu au secret, ça fait partie du contrat que j'ai signé... ». Elle ne parle pas, ne l'interrompt pas, mais il peut sentir à quel point elle veut qu'il continue. « … Tu es terrible, tu sais ça ? Bon. Je peux te dire que... je suis en train de travailler sur un projet. Scientifique. Financé par une entreprise mondiale de pharmaceutique. J'ai des collègues qui travaillent avec moi. Dont mon meilleur ami, Miguel, qui est resté en Espagne, c'est là-bas que se font les recherches principales ». Il a pesé chacun de ses mots. Ne pas trop en dire, surtout pas. Les gens pour qui il travaille ne plaisantent pas. Vraiment pas. « Et ces recherches sur quoi elles portent ? Et il y a beaucoup d'autres personnes sur ce projet ? Vous y passez beaucoup de temps ? ». Il rit, de toutes ces questions qui arrivent comme une cascade. « Je ne peux pas te dire sur quoi ça porte, c'est top secret ! » Il lui adresse un rapide clin d'oeil, avec une pensée pour le contrat signé il y a déjà ce qui semble une éternité. « Mais oui, nous sommes un certain nombre. Et ça prend pas mal de temps, j'y travaille énormément en dehors des cours ». Elle souffle doucement sur sa tasse de thé. « Comme mon frère, il travaille beaucoup pour son projet, il n'est... jamais là ». Il profite qu'elle avale une gorgée de thé pour lui lancer un regard triste et coupable à la fois. Oui... exactement comme ton frère... Pardon Faith, de ne rien pouvoir te dire, de te garder à l'écart....

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