►Une jeune femme plutôt calme. Du moins en apparence. Extérieurement, elle peut donner une impression de sang-froid parfois presque… Effrayante. Mais il n’en est rien : elle a tout simplement du mal à exprimer ses émotions. Plutôt, elle n’est pas toujours extravertie. La raison ? Un esprit parfois un peu trop rationnel. Ce petit quelque chose qui l’enjoint d’observer avant d’agir. La sensation de malaise, le déclencheur qui la pousse à y penser à deux fois. Ce n’est cependant pas une androïde tirée du futur, qui analyse la situation à tout bout de champ : il lui arrive de se montrer spontanée, notamment sous le coup de la gêne, ou envers des plus jeunes. Passer pour un glaçon pourquoi pas, en être un, c’est tout de suite moins folichon. Et plutôt limitant. Et même si s’affirmer est quelque chose qu’elle gagnerait à faire plus souvent, ce n’est pas pour elle une raison de vaquer tranquillement sous l’autorité d’Untel. Elle conserve un certain esprit d’indépendance, à défaut d’un esprit d’indépendance certain.
Si elle n’hésite pas à balancer un ‘Chacun sa merde !’ quand ça l’arrange bien, il lui est difficile de laisser à son sort quelqu’un qui a mis le pied dans une trop grosse merde. Oui, un petit côté altruiste, parfois trop gentille, mais pas de là à se laisser allègrement marcher sur les pieds.
Elle n’est pas du genre à venir pointer son nez dans les affaires des autres. Comme dit, ‘Demerdieren sie sich’. S’immiscer dans une altercation, non. Sauf si ça vire au carnage, qu’il soit verbal ou physique. On assiste alors à une parfaite démonstration de débilité, avec une Noan qui tente de limiter les dégâts, avec des résultats plus ou moins concluants. Les ambiances tendues, ça ne mène à rien, selon elle.

►Moyenne au corps-à-corps. Dopée à l’adrénaline, elle peut éventuellement montrer plus de force qu’elle ne semble en posséder. Plutôt de l’auto-défense qu’autre chose, en somme.
La demoiselle semble bien se débrouiller avec une épée entre les mains.
Connaissances dans le domaine des sciences techniques.