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| NOAN - Quand t'as pas de titre correct, dis de la merde au lieu de te la fermer. | |
« Retourneuse de crêpes cadavres »
Noan
Messages : 406 Date d'inscription : 05/01/2013 Age : 28 Localisation : *Perce les cieux*
Feuille de personnage Temps restant: (15/72) Dans ses poches: Rencontres/Découvertes: | Sujet: NOAN - Quand t'as pas de titre correct, dis de la merde au lieu de te la fermer. Sam 5 Jan - 15:16 | |
| Noan – 20-23 Is memory really a way of holding onto the things you love, the things you are, the things you'll never want to forget ? Fiche © neb art 2012
Caractère
►Une jeune femme plutôt calme. Du moins en apparence. Extérieurement, elle peut donner une impression de sang-froid parfois presque… Effrayante. Mais il n’en est rien : elle a tout simplement du mal à exprimer ses émotions. Plutôt, elle n’est pas toujours extravertie. La raison ? Un esprit parfois un peu trop rationnel. Ce petit quelque chose qui l’enjoint d’observer avant d’agir. La sensation de malaise, le déclencheur qui la pousse à y penser à deux fois. Ce n’est cependant pas une androïde tirée du futur, qui analyse la situation à tout bout de champ : il lui arrive de se montrer spontanée, notamment sous le coup de la gêne, ou envers des plus jeunes. Passer pour un glaçon pourquoi pas, en être un, c’est tout de suite moins folichon. Et plutôt limitant. Et même si s’affirmer est quelque chose qu’elle gagnerait à faire plus souvent, ce n’est pas pour elle une raison de vaquer tranquillement sous l’autorité d’Untel. Elle conserve un certain esprit d’indépendance, à défaut d’un esprit d’indépendance certain. Si elle n’hésite pas à balancer un ‘Chacun sa merde !’ quand ça l’arrange bien, il lui est difficile de laisser à son sort quelqu’un qui a mis le pied dans une trop grosse merde. Oui, un petit côté altruiste, parfois trop gentille, mais pas de là à se laisser allègrement marcher sur les pieds. Elle n’est pas du genre à venir pointer son nez dans les affaires des autres. Comme dit, ‘Demerdieren sie sich’. S’immiscer dans une altercation, non. Sauf si ça vire au carnage, qu’il soit verbal ou physique. On assiste alors à une parfaite démonstration de débilité, avec une Noan qui tente de limiter les dégâts, avec des résultats plus ou moins concluants. Les ambiances tendues, ça ne mène à rien, selon elle.
►Moyenne au corps-à-corps. Dopée à l’adrénaline, elle peut éventuellement montrer plus de force qu’elle ne semble en posséder. Plutôt de l’auto-défense qu’autre chose, en somme. La demoiselle semble bien se débrouiller avec une épée entre les mains. Connaissances dans le domaine des sciences techniques.
| | | | | Physique
►Une silhouette élancée, fine. Trop. Presque maigre. Presque frêle. En tout cas, de celles qui ne sont pas remplumées correctement, des muscles secs, et rien. De longues jambes, une taille peu marquée et une poitrine plutôt menue finissent de la rendre filiforme. Sa coupe, ou plutôt ses cheveux taillés… Assez à l’arrache, comptent plusieurs mèches indisciplinées qui sortent allègrement des rangs de son semblant de carré dès lors que le vent se fait sentir. La liberté reprend ses droits, partie I. Ils encadrent tant bien que mal un visage fin, au front un peu trop haut. Un nez sans histoire, et des yeux foncés, comme ses cheveux - bien qu’eux se parent à l’occasion de reflets presque bleutés -, ornés de sourcils bien épilés achèvent le portrait. ►Une robe, noire, au haut en bandeau. Ou plus exactement, top et jupe tellement assortis qu’ils donnent l’illusion de n’être qu’un seul et même vêtement. Étrangement, elle porte par-dessus une chemise gris clair. Chemise d’homme. Tenue qui jure à ravir avec le long manteau souple qui la recouvre, et a déjà vécu, et le sac à dos type borne, dans le même état. Les bottes souples en cuir à ses pieds sont abîmées. Un petit tour dans la boue ? Du moins, elles en portent des traces. Les talons, même moyens, c’est pourtant pas les chaussures idéales pour ça. ►Un vieux canif pliant, passablement rouillé, dans une poche de son manteau. Un tube de baume à lèvre bien entamé dans la poche avant de son sac. Une boîte oblongue, un peu plus longue que son bras, dépasse du sac, fermée par un petit cadenas, dont elle ne possède pas la clef. S'y trouvent également un short découpé dans un jean, qui lui semble à sa taille, et un paquet de clopes vide. Elle troue ça étrange, parce que l'odeur la rebute proprement. ►Elle possède une cicatrice en croix qui lui barre la poitrine, tout juste recouverte par ses vêtements - je parle de la balafre hein -out- -. Assez mal refermée, elle est boursouflée, bien qu’ancienne.
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La Quête de l'Identité
Le Joueur dans tout ça
►Votre PUF : Portail Unifiant de Foire ? ►Comment avez vous découvert le forum ? Classé secret-défense. VOUS NE SAUREZ RIEN. ►Qu'en pensez-vous ? Là, je suis pas réellement en train de penser, disons que je bave devant le contexte depuis hier. Ou avant-hier. On perd la notion du temps, quand on bave. 'Devriez essayer, c'est très édifiant comme expérience. ►Quel est votre objectif en tant que joueur : La recherche de la mémoire mais… Dans l’autre sens, si je puis dire. Et la chasse aux vilaines Ombres pas belles si l’occasion s’en présente et que mon personnage ne meurt pas bêtement avant. Ce qu’elle serait capable de faire.
© neb art 2012 |
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« Petit Chaperon Rouge »
Novembre
Messages : 1609 Date d'inscription : 05/05/2012
Feuille de personnage Temps restant: (59/72) Dans ses poches: Rencontres/Découvertes: | Sujet: Re: NOAN - Quand t'as pas de titre correct, dis de la merde au lieu de te la fermer. Dim 13 Jan - 21:46 | |
| Yop ! Bienvenue sur le forum ! :'D Désolée du temps de validation, mais on a enfin des idées ! Donc tu es officiellement validée ! Tu arrives à 02h-04h, voici ton synopsis : - Citation :
- La nuit. Le silence. Un train. Le train. Vide. Vide comme sa tête, vide comme sa main. Sa main gauche, seulement. Car dans la droite, habilement entortillée autour de ses doigts, trône une chaîne. Plus une chaînette, en fait. Argentée. Révélée par la lumière vacillante d'un néon instable dans la cabine aux sièges de velours rouge. En regardant par la fenêtre, elle peut apercevoir le quai, envahi par la végétation, et éclairé par un unique lampadaire. Et au bout de la chaînette ? Un petit sablier aux reflets bleutés, qui compte son temps.
Lève-toi, Noan. Le temps mange la vie. Et il prendra la tienne, comme celle de tous les autres. Je te laisse ouvrir un nouveau sujet à la gare, dans le train ou sur le quai, ou bien rejoindre un topic déjà en cours ! ;) |
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