☩ le caractère de votre personnage Le caractère... Il en a, Strider. Il a beaucoup de caractère. Et il n'hésitera pas à vous le foutre sur la gueule, son caractère. C'est un homme qui n'a pas peur de la violence, et qui l'utilise d'ailleurs comme moyen principal de communication. Je t'aime pas? Un poing sur la gueule. Je t'aime? Un poing sur la gueule. Par contre, cette partie ne concerne que les mâles. Pour les femmes, c'est plutôt je t'aime j'te baise, je t'aime pas j'te baise quand même, avec la seule exception qu'il n'est absolument pas intéressé par les filles qu'il considère moches. En fait, Strider c'est un connard sexiste qui juge que les femmes ne sont bonnes que lorsqu'elle gémissent et se tortillent sous lui. Mais ce qui est surprenant c'est qu'il ne toucherait jamais une fille non consentante malgré tout. Il préfère les cris de plaisir à ceux de douleur, d'ailleurs les cris de douleur il ne les supporte pas. Si quelqu'un hurle sa souffrance, il y a de bonne chances qu'il se prenne un ou deux méchants coups sur la tête, ou tout du moins jusqu'à ce qu'il se taise. Strider, c'est un mec cool. Le genre de mec qui se promène peinard les mains dans les poches quand tout autour de lui n'est que destruction. À vrai dire il se fout de tout ce qui n'est pas lui et ne peut pas lui apporter quoi que ce soit. Il n'aime personne et personne ne l'aime, et il est heureux comme ça. Enfin heureux c'est un grand mot, mais Strider n'a pas un caractère qui permet d'être heureux. Il n'aime pas les gens, il s'en fout même, si une vieille dame était entrain de se noyer devant lui il ferait comme s'il n'avait pas remarqué et continuerait son chemin. Et si on le lui reprochait plus tard, il ne répondrait que par un fuck bien senti, parce que c'est un enfoiré. Strider, il aurait autant pu s'appeler Striker, mais il trouvait qu'un d c'était plus classe. Parce qu'il se fout de voir les gens souffrir et qu'il engendre même souvent la souffrance. Tuer? Ça ne lui donne aucun remords et ça ne lui fait pas peur. Il aurait pu faire carrière dans la mafia ou comme assassin professionnel s'il n'était pas atteri dans cet endroit de merde. Il trouve que la vie - la sienne ou celle des autres - n'est absolument pas importante, et ce serait son genre de mourir d'une façon totalement stupide. Parce que Strider n'est pas seulement une enflure au caractère de merde, c'est aussi un mec impulsif qui n'hésite jamais avant d'agir et qui ne regrette jamais. Après tout, il s'en fout. Les conséquences ça ne lui fait pas peur et il les affronte la tête haute. Parce que malgré tout, Strider a au moins le mérite de ne jamais s'arrêter avant d'avoir atteint son but. Pas qu'il en aie vraiment, à vrai dire, mais lorsqu'il se fixe un but il fait tout pour y parvenir. Sauf s'abaisser aux yeux des autres; il les tuera avant. Strider il est dangereux parce que même s'il ne s'énerve pas facilement, quand il est énervé ça fait du dommage. Il peut tabasser, détruire, tuer, et tout ça sans même en regretter la plus petite partie après. Il prend tout le monde de haut, parce qu'il se considère supérieur; il ne ressent pas de sentiments de faibles comme le regret, la culpabilité ou la pitié. Il pense que c'est la seule bonne façon de vivre et que ça lui apportera ou une vie facile ou une mort prématuré. Pour être honnête il s'en fout. Mais en vérité, même s'il ne le comprends pas lui-même et que même s'il le comprenait il ne se l'avouerait pas, Strider est mal dans sa peau. Il ne se sent jamais seul et il ne s'empêche pas d'avoir des relations avec les gens pour ne pas se blesser, c'est tout simplement qu'il n'en ressent pas le besoin. Il n'a jamais ressentit le besoin de se lier à qui que ce soit et ça le met mal à l'aise. Il sait qu'il devrait ressentir ce genre de sentiment mais il n'y arrive pas. L'amour, l'amitié sont des sentiments qui lui sont étrangers, aussi étrange que cela puisse paraître. Il s'est donc toujours sentit à part, mais il ne s'en est jamais plaint, parce que même si ça l'empêche d'être 'normal' il ne le regrette pas. Il vit sa vie comme il le peut, mais il ne peut pas être heureux, il ne ressent que de la neutralité ou des sentiments négatifs, sauf la tristesse. Il a ce blocage émotionnel qui ne lui permet ni de ressentir de la joie ni de ressentir une quelconque tristesse. Alors en vérité, il est une enflure mais ce n'est qu'en partie sa faute; le reste, c'est juste ce blocage qui l'empêche d'être agréable. ☩ ses talents et compétences particulières Strider est un excellent combattant, aussi bien à mains nues qu'avec une arme de mêlée. Si on lui mettait une épée entre les mains il est ferait un usage dévastateur. Il est aussi habitué de se battre, du moins son corps l'est; il supporte bien la douleur et arrive très bien à la masquer.
Physique
☩ L'apparence de votre personnage Strider est beau. Il a une belle gueule, et ça fait chier. Avec son caractère de merde, on aurait envie qu'il soit laid, que la nature lui ait donné une conséquence, mais non. Ses cheveux sont courts, noirs et coiffés en pique. Il semble qu'ils ont toujours été coiffés ainsi, si bien qu'ils s'y placent naturellement, même sans gel. Il a des traits plutôt anguleux, un nez pointu, bien centré et des yeux bleus. Son visage est souvent modelée d'une expression neutre, mais parfois ses lèvres se fendent en un grand sourire, un sourire plutôt sadique et pas un sourire agréable qu'on aime voir. Généralement, d'ailleurs, quand on voit ce sourire, on ferait mieux de se cacher, car il n'est jamais de bon présage. Sauf pour les femmes consentantes, peut-être. Strider est grand, il doit faire environ un mètre quatre-vingt huit, et plutôt musclé. Probablement faisait-il de la boxe ou autre sport de combat, ou simplement évoluait dans un milieu où c'est tu sais te battre ou tu meurs, allez savoir. ☩ Les vêtements qu'il portait le jour de son arrivée Un t-shirt blanc surmonté d'une veste en cuir rouge et des jeans bleu foncé tout simples avec un trou au genou gauche. Il portait aussi des sneakers blanches et rouges et des lunettes de soleil à la teinte jaune-orange, qu'il n'a jamais ôtées d'ailleurs. ☩ Ce qu'il y avait dans ses poches le jour de son arrivée Beaucoup d'argent(cinq cents dollars américains environ), un briquet zippo avec un dragon représenté dessus, un paquet de cigarettes, une seringue, ce qui semblait être du cannabis(du moins l'odeur lui a mis ce nom en tête), un portefeuille contenant l'argent cité au début, une carte de banque, du papier à rouler, quelques cartes d'affaires qui ne lui disaient rien et un petit papier avec une liste d'adresses et de numéros de téléphones associés à six noms qui ne lui disaient rien non plus, et un petit couteau à cran d'arrêt. ☩ Ses signes particuliers Une cicatrice sur l'épaule droite, pas très grosse, d'environ cinq centimètres, et un tatouage de dragon avec deux têtes dans le dos, une tête sur chaque omoplate.
La Quête de l'Identité
Le Joueur dans tout ça
☩ Votre PUF wat ☩ Comment avez vous découvert le forum ? Google c'est un bon pote. ☩ Qu'en pensez-vous ? Super '-' ☩ Quel est votre objectif en tant que joueur : Qu’est-ce qui vous intéresse le plus dans le jeu ? La découverte de la Ville.
Dernière édition par Strider le Ven 4 Jan - 23:29, édité 1 fois
« Aimant à cas sociaux » Janvier
Messages : 1040 Date d'inscription : 26/04/2012 Age : 28 Localisation : Paris
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Sujet: Re: This ain't a battle anymore; it's a motherfucking war! Ven 4 Jan - 14:11
Tu reçois donc officiellement le cookie de la bienvenue Personnellement j'adore le personnage et j'ai vraiment hâte de voir ce qu'il donnera InRp. Deux admins bosseront sur ton histoire j'ai nommé Hippocrate et moi même parce qu'on est vraiment fan. Donc. Tu arrives à 02-04h du matin. Libre à toi d'ouvrir un nouveau sujet dans la Gare ou près du Pont sachant qu'au pire des cas, un Pnj se débrouillera pour te conduire à d'autres personnages. Voilà le petit synopsis d'arrivée :
Citation :
Il fait nuit. Nuit dehors et nuit dans sa tête. Parce qu'il ne se souvient de rien. Comme après un lendemain de mauvaise cuite ses idées sont brumeuses et confuses. Il est dans un train. Un vieux train vide à l'arrêt. Et par delà la vitre sale il peut voir un quai solitaire tout juste éclairé par un pauvre lampadaire. Où est-il ? Il ne sait pas. Il ne sait rien. Dans sa poche, un petit réveil dont les chiffres sur le cadran digital s'écoulent à l'envers. Que décompte-t-il ? Ton temps...
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