Qui je suis ? Je vous conseille d'éviter de me rappeler cette question épineuse, ça pourrait très vite m'énerver. Quoi que m'énerver ne servira pas à grand chose... Je ne sais pas qui je suis. Je ne sais pas où je suis. Je ne sais plus rien, et je suis incapable de dire pourquoi. Je me suis réveillée seule, dans un train. Amnésique. Je me suis renommée. Hécate. C'est ce qui est écrit sur mon bracelet, autant parier que c'est mon nom, sinon quoi ? Un jour, je saurai qui je suis.
Ce qu'il faut savoir
Lien vers ma fiche :Ici ! Ce qu'il y avait dans mes poches : - un couteau suisse élimé - une photo d'une cabane sur une falaise - un élastique à cheveux - un stylo mâchouillé - des chewing-gum à la chlorophylle
Dernière édition par Luna le Jeu 27 Juin - 15:01, édité 2 fois
« Princesse mutante, suicidaire et maniaco-dépressive » Luna
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Sujet: Re: Luna (aka Hécate) ~ La lune se souvient-elle du temps qui passe ? Mer 28 Nov - 12:44
Bouffée d'adrénaline. Ça y est, elle y est. Elle y est, quoi ! Elle se sent proche du but. But qui n'était pas celui d'origine, d'ailleurs. Mais la sensation d'un succès prochain, ce même pressentiment qui vous pousse à croire qu'un rien suffirait à vous assurer la réussite, oui, cette sensation reste la même, quoi qu'il arrive. Devant elle, des étagères poussiéreuses s'alignent en rangées asymétriques et désordonnées. Le faisceau lumineux de sa lampe torche balaie de vieilles bouteilles, vides pour la plupart, elles aussi couvertes de saletés en tous genres.
« T'as trouvé quelque chose d'intéressant ? » La voix retentit dans son dos. Elle sait que sa source est toute proche, sans doute cachée par quelques meubles pourris par l'humidité ambiante. « Plein de choses, ouais », réplique-t-elle d'un ton égal tandis que ses prunelles pétillantes se posent sur un liquide incolore contenu dans une bouteille. Liquide qui diffracte l'image d'un paquet emballé à la va-vite, caché derrière la bouteille. Et d'autres flacons plus ou moins pleins, sur la même étagère. Bingo ! Elle a réussi. Elles ont réussi.
Ce n'est pas ce qu'elle s'attendait à faire, mais elle touche au but. Plus qu'à relever d'éventuelles empruntes sur ces paquets, et un pan entier du groupe est démasqué. L'autre s'approche prudemment, son arme à la main. Elle jette un coup d’œil rapide à la marchandise qu'elles ont découvert et contourne soigneusement l'étagère, guettant sans doute l'arrivée d'autres individus. « 'Va falloir plus que ça pour les coincer, n'importe qui a pu toucher ces emballages. »
Le ton froid de la défaite. En fin de compte, le but s'esquive, se brouille. Disparaît. Elle a l'impression d'avoir perdu ses objectifs de vue. Son objectif. Celui qui l'a conduit jusqu'ici.
souvenir 2
Spoiler:
Il fait nuit. Ils marchent dans la neige. Elle est accrochée à son bras. Ils ne parlent pas. Elle ne veut pas qu’il brise ce silence. Serrée contre lui, elle le regarde. A travers son épaisse écharpe, on distingue ses yeux verts à moitié cachés par des mèches de cheveux châtain clair. Elle a envie de sourire. Mais elle n’y arrive pas.
Pourtant elle est avec lui. Leur promenade pourrait presque ressembler à une ballade romantique dans le paysage blanc sous la nuit étoilée. Sauf que non. Ce soir, tout lui semble gris et terne. A un moment il s’arrête, il se dégage de son étreinte et la regarde. Il va parler. Elle le voit à sa bouche qui s’entrouvre. Mais elle n’a pas envie de l’entendre. Elle ne veut plus de leurs marques de compassions.
« On va le retrouver. Je te le jure. » sa voix résonne dans l’air ambiant. Elle aimerait le croire. Mais elle n’y arrive pas. Elle se contente de hocher mollement la tête. Les larmes lui montent aux yeux bien malgré elle.
« Ça va aller. » Il la prend dans ses bras. Elle sent sa chaleur. Doucement, la voix sanglotante, elle lui répond. « Je ne veux pas rentrer chez moi ce soir. » Il hoche la tête. Elle sait qu’il comprend.
souvenir 3
Spoiler:
Nausée. Soudain haut-le-cœur qui lui soulève l'estomac. Elle se retient à grand peine de contaminer la scène de crime. Si elle fait ça, c'est le renvoi assuré. Alors elle s'accroche à son petit cœur ballotté et à ses rêves d'enfant. Elle repense à ce contre quoi elle veut lutter. Inspire. Odeur métallique et désagréable. « C'est toujours dur, la première fois » fait une voix derrière elle. Elle se mord la lèvre inférieure pour s'empêcher de vomir. L'homme à côté d'elle l'emmène un peu plus loin, et enfin elle respire un air sain. « Ça va, c'est pas grave. Faudra bien que je m'habitue. » Dans l'instant, elle ne veut pas s'habituer. C'était tellement plus facile avec les vieux diapos de son école. On ne se rendait pas compte. Mais là... Elle fixe l'homme, et son regard se fait plus déterminé. Il a l'air de s'en ficher totalement, en fait. Ça lui donne d'autant plus envie de prouver qu'elle est à la hauteur. « On reprend ? » Elle ne tient pas à revoir ce pauvre type qu'on a sans doute traîné dans un fossé avant de l'abandonner. C'est pas vraiment sa branche. Future branche. Mais elle n'abandonne pas comme ça ! « Appelle plutôt le légiste, comme ça, tu ne seras pas obligée de regarder. Je te l'ai dit, c'est toujours dur, la première fois. » Elle n'est pas sourde, c'est bon. Mais elle se sent soulagée de ne pas avoir à réitérer l'expérience tout de suite. Elle se dirige vers les bandes jaunes et noires qui gardent l'entrée du périmètre sécurisé. Keep out, lit-elle. On se demande même pas pourquoi. Elle aperçoit l'ombre d'une blouse bleue, hèle son propriétaire au passage : « Hé, le légiste ! Le grand chef te demande, là-bas. » Sa voix tremble, même si elle ne veut pas le montrer. Le gars passe devant elle et lui colle un carnet et un stylo entre les mains. Et elle se rend compte qu'elle se ballade sans prendre de notes depuis le début.
souvenir 4
Spoiler:
Il est assis devant la fenêtre, sur la chaise en mauvais état qu'elle devine sans peine malgré le contre-jour. Le parquet grince sous ses pas tandis qu'elle tourne vivement en rond, les nerfs en pelote. Comment a-t-il pu ne pas lui dire avant ? Pourquoi ne l'a-t-il pas fait, d'ailleurs ? Pour la ''protéger'' ? Elle n'est plus une gamine de deux ans, à ce qu'elle sache ! « T'aurais pas pu me le dire plus tôt ? Avant que tout ça n'arrive ?! » Elle fulmine, hors d'elle. C'est sa faute à lui. Tout est de sa faute. Pourquoi ? Mais pourquoi, bordel ? Elle sent l'homme se crisper sur sa chaise, même s'il n'esquisse pas un geste pour s'approcher d'elle. Au contraire, il semble se tasser un peu plus contre la fenêtre, honteux. « Je voulais pas que tu en souffres. C'était mes problèmes, tu comprends ? » Elle s'arrête, furibonde. Se plante devant lui et lui crache au visage : « Ah ouais ? Et bien maintenant, tes problèmes sont aussi mes problèmes ! Et les siens ! Si tu me l'avais dit, je m'y serai attendue, j'aurais prévenu la police, j'aurais pu empêcher ça, j'aurais... J'aurais... ! » Elle se mord la lèvre inférieur avec rage. Elle aurait quoi, au juste ? Tout le problème était là, car cette question lui reste toujours sans réponse. Toujours. Elle s'agite, serre les poings, et tous les muscles de son corps sont tendus comme des ressorts. « T'avais pas le droit de l'impliquer là-dedans ! Pas le droit, tu m'entends ! Tout ça c'est de ta faute ! Et maintenant, j'espère que tu vas te rattraper. S'il te plaît, dis-moi que t'as prévu quelque chose, n'importe quoi. » Les larmes coulent le long de ses joues, vaines et silencieuses. Elle n'en peut plus, elle craque. Elle se jette dans les bras de l'homme et frappe son torse de ses poings serrés, le chagrin prenant finalement le dessus sur sa colère. Le chagrin de la perte, à n'en pas douter. « Pourquoi t'as fait ça ? Rends-moi mon petit frère ! Rends-le moi, rends-le moi... S'il te plaît fais quelque chose, rends-le moi... » Sa vision est brouillée, floutée. Elle perd la notion de dignité qui lui est si chère. Elle veut que sa peine cesse, elle veut revoir son frère. « Si Mat' avait été là, ça se serait pas passé comme ça... »
souvenir 5
Spoiler:
Ils sont sur le trottoir de gauche et ils marchent côte à côte. La rue est plutôt calme, pour une fois, si on excepte les voitures qui crachent bruyamment leur pollution sur l'asphalte noir. « Alors, ta journée s'est bien passée ? » Le jeune garçon hausse timidement les épaules. « Oui, c'était déjà mieux qu'hier. On a fait du base-ball après la leçon de grammaire. » Elle sourit à l'enfant et lui ébouriffe les cheveux en signe d'affection. « Bien, au moins tu... Oh, attention, t'es sur la route ! » Par réflexe, elle l'attrape par la manche et le tire de nouveau sur le trottoir. On n'a pas idée d'être distrait comme ça, surtout à son âge ! Et puis, il aurait pu se faire écraser ! Elle ne veut même pas imaginer ce qu'elle aurait fait si... Si... Non, elle ne veut pas y penser. « Écoute-moi, tu ne marches pas sur la route, d'accord ? Tu vois bien qu'il y a des voitures, pourtant ! Je ne veux pas que tu te fasses écraser, tu m'entends ? Alors... S'il te plaît, ne te mets pas en danger. » Le gamin fait la moue, et elle ne sait pas s'il est désolé ou juste vexé. Ça lui passera, songe-t-elle en tournant au coin de la rue.
Puis des klaxons retentissent dans la rue. Mais plus que d'habitude. Une fourgonnette blanche, à contre-sens. Elle ne comprend pas bien ce qui se passe. Elle continue d'avancer avec l'enfant. Le véhicule fonce toujours vers elle. Vers eux. Vers lui. Instant de panique. Mais il va reprendre le contrôle, ce chauffard ?! À ce rythme, il va écraser tout le monde ! Elle ne tilte pas vraiment, mais c'est bien droit sur eux qu'elle se dirige. Elle tire son frère derrière elle au cas où l'engin termine sa course sur le trottoir. Inutile précaution. Le chauffeur effectue un dérapage plus ou moins contrôlé et s'arrête à quelques mètres d'eux. Le moteur tourne toujours. Bouffée d'angoisse. C'est pas normal. C'est pas normal tout ça. Pas normal du tout. Deux types sortent de l'arrière du fourgon et s'avancent dangereusement vers elle. Elle est dos au mur, littéralement, protégeant vainement son petit frère derrière elle. Un troisième s'approche et empoigne le bras de l'enfant. Elle saisit l'autre bras, tente de l'arracher à la poigne malveillante. Les deux premiers hommes échangent brièvement en espagnol. Elle ne saisit pas tout, mais comprend tout de même un « ouais, c'est le bon. » Les autres mots sont trop mâchés ou familiers pour elle. Elle lance un regard désespéré à son petit frère, qui la fixe de ses grands yeux verts larmoyants. Pourquoi ? Oui, pourquoi lui, pourquoi là, pourquoi maintenant, pourquoi comme ça ? Incompréhension. Elle enrage d'être aussi inutile, d'être aussi incapable. Elle se débat, on la bloque. On emmène son petit frère. Elle crie, on l'en empêche. Elle donne des coups au hasard, tente de se dégager. Et une douleur intense irradie bientôt de sa tête. Elle voit flou, puis plus du tout. Se sent partir. Tomber. Choc. Plus rien.
souvenir 6
Spoiler:
Elle est allongée sur le lit. Ça fait des heures qu'elle reste comme ça. Ça fait des heures qu'elle se demande s'il n'est rien arrivé à cet avion pour l'Europe. Qu'elle espère que tout va bien. Qu'elle se dit qu'il lui manque. Que depuis l'instant où il l'a quittée à l'aéroport de New York, il lui manque cruellement. Elle n'entend pas frapper à la porte de sa chambre, et ne vois pas non plus la petite silhouette colorée qui se glisse vers son lit. « 'Tite sœur, ça va aller, tu sais. » La voix réconfortante la surprend presque, tant elle a l'impression de s'être coupée du monde. Elle relève vaguement les yeux pour apercevoir les petites mèches bleues de Grande Soeur, qui la câline doucement. Oui, elle doit lui faire de la peine, à être dans cet état. « Il t'a dit qu'il appellerait, non ? » Elle hoche lentement la tête, pas du tout convaincue. Le monde s'est arrêté de tourner quand elle a mis les pieds dans cet aéroport. Elle n'a pas envie d'en parler. Elle n'a plus envie de rien, en fait. Elle vit ça comme un abandon infâme. Surtout maintenant. Maintenant qu'elle a besoin de soutient, après ce qui s'est passé, il s'en va. Pour son travail, oui... Mais elle alors ? Les heures passent et le téléphone sonne. « Ça doit être lui, tu devrais répondre. » Elle décroche fébrilement. « Allô ? » Sa voix tremble de chagrin. « Luna ? Je suis arrivé à Londres. » Il y a un silence qui lui paraît durer une éternité. « Tout va bien ? » Les larmes perlent au bord de ses yeux, dégoulinent le long de ses joues. Elle hoche la tête mais il ne peut pas la voir. « Luna, ça va ? » Répète-t-il avec le décalage caractéristique des appels venant de l'autre bout du monde. « Oui... Oui, ça va. » Elle ment. Ça ne va pas. Du tout. Il lui manque. Sa gorge nouée l'empêche de parler avec assurance. « Tu rentres bientôt, hein ? » Elle connaît la réponse. « Oui. On a dit que c'était bientôt, tu te rappelles ? » Elle essaie d'arrêter de pleurnicher. S'il la voyait... « Je dois te laisser. Je t'appelle quand j'arrive, d'accord ? » « D'accord... » « À tout à l'heure mon ange. Je t'aime. » « Je t'aime. » La tonalité retentit, signe qu'il a du raccrocher. Elle est un peu rassurée, maintenant. Ça ne sera plus comme avant, entre eux. Et ça, il faut encore qu'elle l'accepte. « Merci grande sœur. Ça va mieux, t'inquiète pas. » Elle n'en est pas encore certaine, mais elle n'a plus envie de pleurer.
souvenir 7
Spoiler:
« Toi ! Ne la touche pas, ok ? Tu te présentes, pour commencer. T'es qui, hein ? Qu'est-ce que tu lui veux ?! » Elle a un geste mécanique pour mettre la jeune fille derrière elle. Comme on lui a appris à l'école de police. Aujourd'hui elle n'a pas d'arme, mais son regard assassine aussi bien qu'un pistolet conventionnel. Elle dévisage l'homme mince aux cheveux longs et noirs qui veut du mal à sa grande sœur. « Ça me regarde. Mêle-toi de tes affaires. » Le ton est froid, presque indifférent. Comme s'il venait la chercher par contrainte. « Laisse, 'Tite sœur, ça va aller. Je te présente Harper. C'est... » Elle se tait un instant, et se dégage de sa poigne. S'avance vers ce type méchant avec un air désolé. Celui-ci ne prête même pas attention à la jeune fille aux cheveux bleus. Depuis qu'elle l'a appelée « sœur », il la toise durement, comme si elle n'était pas à la hauteur. Comme si elle ne méritait pas ce nom. Pour qui il se prend, celui-la ?« Viens, Faith. » La jeune fille le suit à pas lents et résignés. « Désolée 'Tite sœur. C'est mon frère », confie-t-elle d'un air penaud en s'éloignant. Elle reste debout sur le trottoir. Alors c'est ça... Quand elle pleure, c'est pour ça ? À cause de ce type ? Rien d'autre ? Sentiment d'impuissance. Elle voudrait aider sa demi-sœur. Sauf qu'elle ne peut pas. Parce qu'il n'y a rien à faire.
Ce code appartient à Nulle Part
Dernière édition par Luna le Mer 24 Juil - 21:25, édité 9 fois
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Sujet: Re: Luna (aka Hécate) ~ La lune se souvient-elle du temps qui passe ? Mer 23 Jan - 19:21
Liens tissés
Novembre
Une des premières personnes qu'elle a rencontré à Nulle Part. Elle le trouve assez insupportable de par son humour ironique, et n'hésite pas à l'envoyer promener proprement quand l'occasion s'en présente. Mais comme on dit, "qui aime bien châtie bien", et la brunette en vient à se demander si elle n'éprouverait pas quelque chose pour le jeune homme.... D'ailleurs, après l'avoir brusquement embrassé dans le parking (et on omet ici l'épisode de la gifle), elle ne sait plus trop où elle en est. Elle a l'impression qu'ils ont traversé un bon nombre de choses ensemble, et que ça les a rapprochés. MAJ 27/06 : Leurs relations n'ont fait que dégringoler. Jusqu'à la rupture totale de tout lien. Novembre ayant braqué une arme sur elle et l'ayant envoyée loin de lui, elle tente comme elle peut de tirer un trait sur lui. Peu efficace comme vous vous en doutez.
Passé commun : Coincés dans un espace réduit, avec des bruits inquiétants à l'extérieur. Elle se doute que dans ce temps là, ils n'étaient pas du même bord, mais ignore pourquoi elle s'est retrouvée dans cette situation...
Calvetti
Doyenne de leur petite bande. Hécate l'admire parce qu'elle a la tête froide, et la jalouse parce que disons le, elle a la classe, et que Novembre lui prête de l'importance. Elle la suivrait sans doute presque partout. Depuis la séparation du groupe au commissariat, elles se sont à peine croisées. Et avec la séparation des Maraudeurs, ça promet de devenir encore pire.
Passé commun : Il semble que Calvetti et Hécate se soient connu dans le passé, dans un passé policier pour être précis, en effet, elles se sont retrouvé à chercher quelque chose dans un hangar abandonné.
Décembre
Décembre lui fait un peu penser à elle même : une apparence forte et sûre d'elle -pour ne pas parler de sa vulgarité !-, qui cache sans doute une part de faiblesse. Elle a eu un peu de mal avec la rouquine dans les premiers temps, mais après l'épisode du câlin dans le magasin de vêtements, elle a envie de protéger Décembre du mieux qu'elle peut.
October
October, Hécate ne sait pas trop ce qu'il convient d'en penser. Elle la jalouse dès que la brunette ose parler à Novembre -mais chut, c'est un secret- et en même temps, la jeune femme n'a pas l'air plus méchante que ça. Si October ne rougissait pas en parlant à son dealeur, pas de doute qu'elle pourrait tenter de devenir son amie, mais là...
Landscape
Le type inssuportable pas excellence, parce que trop gentil, trop naïf, trop tout ça. Trop trop. Le genre à s'applatir et à revenir faire des excuses alors que c'est lui qui a raison. Et comme elle n'a pas réussi à le cerner totalement, ça n'en est que plus énervant.
Chocolat
Petite soeur. Allez savoir pourquoi ce lien s'est tissé, mais c'est comme ça, et de toute façon, ça ne changera pas. Hécate elle y tiens, à Chocolat. Enfin, Milena, puisque c'est ainsi que le type aux cheveux bleus l'a appelée. Et ce n'est pas parce que la brunette a accepté de laisser sa protégée à ce type qu'elle ne continue pas pour autant à s'inquiéter pour la blondinette. Petite sœur, c'est une fleur fragile.
Pâques
Hécate n'a pas encore eu le temps de bien connaitre cette fille avec ces étranges cheveux bleus, ni de comprendre comment elle avait atterri avec Novembre, et encore moins de savoir pourquoi elle avait suivit le dealeur. Quoiqu'il en soit, elle n'est pas méchante, sinon, elle n'aurait pas été aussi douce à la fontaine.
Chancelier
Elle aimerait bien en savoir un peu plus sur ce type bizarre. Surtout qu'elle lui a laissé Chocolat, et que ça, ce n'est pas n'importe quoi. Elle lui fait un peu confiance, parce que petite soeur a l'air de le reconnaitre de son passé et que c'est réciproque, mais son attitude quelque peu inconsistante lui laisse comme un arrière gout de plante verte.
Superman
Un sale gosse agité, mais qui lui rappelle cruellement que quelque part, elle a sans doute un petit frère. Du coup, Superman ne fait que réveiller ses instincts de grande soeur, et elle se doute que surveiller une telle tornade ne sera pas une tâche des plus faciles.
Oxymore
Une jeune fille étrange, qui ne semblait pas inquiète le moins du monde. Hécate l'a vu se transformer physiquement en quelque chose de mi humain mi perroquet, sans que la jeune fille ne soit inquiète pour autant. Elle n'a pas eu le temps de la retenir lorsque celle-ci s'est éloignée et à disparut dans les rues de la ville.
Candide
Elle l'a croisé dans un moment pas forcément évident pour elle. Et a trouvé chez lui une certaine forme de réconfort, peut-être parce que ce garçon a totalement ignoré sa mutation en grenouille, et lui a parlé normalement, sans relever son anomalie. Elle a décidé de lui accorder sa confiance, faute de mieux, et de le suivre lorsqu'il le lui a proposé. Elle ne manque pas de s'inquiéter de son problème d'absence.
« Princesse mutante, suicidaire et maniaco-dépressive » Luna
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Sujet: Re: Luna (aka Hécate) ~ La lune se souvient-elle du temps qui passe ? Mer 24 Juil - 20:58