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Night of the Hunter - CDD

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Jouet fraîchement arrivé
Andrew
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Andrew

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MessageSujet: Night of the Hunter - CDD   Night of the Hunter - CDD Icon_minitimeLun 8 Juil - 16:48


Évolution de


Hunter ❥



Rps

I forget... ❥ Ébène, Touriste et Tourterelle
One day I'll get revenge ; One life to remember ❥ feat. Ébène
Strangers in a strange town ❥ feat. Ébène, Novembre et Calvetti
Qu'est-ce que je fous là ? ❥ feat. Ébène, Novembre et Calvetti
Scalpons les malfrats feat. Ébène, Novembre, Calvetti, Sonata et Autumn
Don't cry or you'll piss me off. feat. Hadès et Cloud

Infos

Hunter a entre 30 et 35 ans.
Dans ses poches : Un flingue, la photo d'une jeune femme, un carnet avec des notes illisibles (on voit seulement écrit "the girl is the target") et des pages arrachées.

Liens

Janvier : Le visage de la demoiselle lui semble familier à un point impressionnant.

Bigoudi : Cette vieille peau l'énerve, à toujours grognasser...
Ce code appartient à Nulle Part


Dernière édition par Andrew le Dim 1 Sep - 8:59, édité 1 fois

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Andrew
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MessageSujet: Re: Night of the Hunter - CDD   Night of the Hunter - CDD Icon_minitimeMer 24 Juil - 22:28


les souvenirs ❥


souvenir 1
Citation :
« Avance », ordonne-t-il à l'homme qu'il doit à moitié porter pour charger dans la fourgonnette. Celui-ci est tellement mal en point qu'il peine à marcher – à moins qu'il ne fasse semblant, en espérant qu'on l'emmène à l'hôpital, d'où il aurait une petite chance de s'échapper... Mais ça n'arrivera pas. Il ne commet plus ce genre d'erreur depuis de longues années de métier.

Il est dans le bureau, juste à côté des cellules. « Vous devriez assister à l'interrogatoire. Je suis sûr que ça sera instructif pour vous. » La femme blonde à qui il adresse la parole soutient longuement son regard, une lueur de défis brillant dans ses yeux verts. Puis, sans un mot, elle tourne les talons et se dirige auprès du commissaire pour prendre des notes sur ce trafic d’œuvres d'art. Ça fait quelques heures qu'ils l'ont arrêté et l'homme semble déjà beaucoup mieux se porter. Ils sont censés lui proposer de dénoncer ses complices ou ses rivaux pour alléger sa peine, mais son flair lui dit que ça ne va rien donner. Puis le téléphone sonne. Il décroche avant que la mélodie archaïque ne se répète. « Sergent Nash, je vous écoute. » Ton professionnel, sans émotion particulière. La voix qui parle appartient à une femme. Une femme apparemment au bord de la crise de nerfs. Après un entretient plutôt pénible avec elle, celle-ci conclut : « Retrouvez-la. C'est important. » Il a fini de prendre des notes sur son calepin qui ne le quitte pas. Et à la fin de la page, il écrit finalement : « The girl is the target. » La blonde revient finalement, d'humeur encore plus massacrante qu'avant qu'ils se quittent. « Alors ? » « Alors rien, il parlera pas. Il est à moitié fou, de toutes façons. Et la prochaine fois que vous m'envoyez suivre un interrogatoire, j'aimerais autant que le type en question se comporte de manière décente, vous voyez ? Choisissez quelqu'un d'autre. » « Ça fait partie du métier, vous vous y ferez, au bout d'un moment. Le plus dur, c'est encore d'apprendre à ne pas s'emporter. » Il insiste bien sur cette dernière phrase. Dompter l'impulsivité de cette guerrière américaine ne va pas être facile.
souvenir 2
Citation :
« Vous savez ce que ça coûte, la rétention d'informations ? » La jeune femme tressaute sur la petite chaise inconfortable. Hoquette un 'oui.' « Mais vous êtes persuadée que vous ne prendrez rien parce que vous dîtes la vérité. Toute la vérité. On ne vous a jamais dit que mentir était un péché, dans votre couvent ? » Sa voix est provocatrice, mais sérieuse. Les menaces ne sont jamais prononcées dans le vide, avec lui. Il sait que c'est elle, la sœur du rouquin. Il sait qu'elle l'a sans doute aidé d'une façon ou d'une autre, et qu'elle sait où il est. Et qu'elle sait où est sa fuyarde de copine. Lizbeth, qu'elle s'appelle. C'est elle la cible. C'est elle qu'il doit retrouver. Alors oui, fuir un mariage arrangé, c'est peut-être le rêve de toute jeune fille élevée aux contes de fée, mais c'est pas comme ça que ça se passe en vrai. Surtout quand on est mineure et qu'on a une famille riche et influente qui commande qu'on vous retrouve. « Je vous ai dit tout ce que je savais. » La voix est faiblarde. Comme hésitante. Comme... Coupable. Elle scrute la table en se tortillant les doigts. Il joue la carte de la pression. Sa voix est sans pitié. « Je l'espère pour vous. Si vous aidez Patrick ou connaissez quelqu'un qui l'aide, c'est le moment de cracher le morceau. Parce qu'on les retrouvera. Et au moment du procès, c'est les gens comme vous qui tomberont les premiers. » Il se lève, ramasse le dossier qui traînait sur la table et quitte la salle d'interrogatoire. Derrière le miroir semi-transparent, ses collègues attendent ses instructions. L'interrogatoire n'a rien donné, encore une fois. « Alors comme ça, le grand Andrew Nash n'a pas réussi à faire parler une fillette apeurée, hein ? » Il fait taire la voix moqueuse d'un regard noir. « La ferme. Je sais qu'elle les couvre. Faut juste lui laisser un peu de temps pour craquer. »
souvenir 3
Citation :
Il a l'impression que ses recherches vont se finir ici. Dans cette minable ville portuaire, où tout sent le poisson et où tout l'énerve : les gens qui parlent fort, les mouettes rieuses qui ne cessent de pousser des cris, le son des bateaux, le tintamarre incessant des pêcheurs qui rangent leur matériel,... Tous ces gens qui brassent de l'air et qui n'ont pas conscience, non, pas un seul instant, que si sa mission foire, c'est toute sa vie qui foire. Parce que vu l'influence de la famille Beau-Champs en politique, il vaut mieux ne pas se les mettre à dos. Et s'il ne retrouve pas Lizbeth... Les muscles de sa mâchoire se contractent à cette idée, l'idée d'un échec cuisant qui mettrait fin à sa carrière prometteuse. Lui qui avait toujours été un excellent enquêteur...

Il allume une cigarette. La énième de la journée. Fumer pour tuer l'ennui, fumer pour faire passer le stress qui s’infiltre sournoisement en lui. Ses yeux dérivent, un peu au hasard, ne distinguent que du mouvement, partout. Les gens s'agitent sans cesse, fourmilière grouillante de vie. Dans laquelle, soudain, passe un éclair roux, un peu plus rapide. Un jeune homme au visage bien connu, qui marche tellement vite qu'on dirait qu'il va se mettre à courir d'un instant à l'autre. Patrick Stanley. Une des deux cibles. Comme quoi, peut-être que quelque part, la chance était avec lui. Peut-être que tout n'allait pas foirer. Peut-être qu'il recevrait les honneurs. Déjà, il se relève, prend le garçon en filature. Les rues s’enchaînent, il reste à bonne distance. Ne pas se faire repérer.

Leur destination est un hôtel miteux. Il aurait dû s'en douter, mais fouiller tous les hôtels de la ville aurait prit trop de temps, un temps qu'il n'a pas vraiment, surtout en sachant pourquoi les deux jeunes gens sont là. Il ignore la femme à l'accueil, qui, le nez dans son journal, ne l'a de toute façon même pas remarqué, et monte les étages sur la pointe des pieds. Au quatrième, une porte grince, puis claque. Et c'est de nouveau le silence. Il s'approche, colle son oreille à chacune des portes du palier, écoute. La troisième est la bonne. « … de toute façon on a plus le choix. Le ferry part demain à 14h. Ce n'est plus le moment de reculer, Liz' » « On a pas moyen de retarder notre départ ? » « Et qu'est-ce que tu compte encore faire ici ? Plus rien ne nous retient. Un ami à moi nous attend en France. On doit partir ». Un sourire mauvais s'étire sur ses lèvres en entendant la discussion. Comme c'est beau de rêver. Mais ils ne quitteront pas le pays. Parce que demain, à 14h, il sera là. Et il les attendra de pied ferme.
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