Elle arrive, lentement. Ne sait rien, ne voit rien. Trouve des gens en sortant du train. Essaye de se remettre les idées qu'elle n'a pas en place. Tente un contact avec les 4 protagonistes. Et BOOM, part ailleurs.
Part ailleurs ? Oui, dans les maisons vides, avec Vodka, le gay. On se taquine, se moque. Elle découvre comment les souvenirs sont distribués. Et puis on sort ailleurs.
Ouais, on a voulu sortir. Alors on est sortis. On a trouvé Gabriel le connard bi, Bartolomeus l'obsédé sexuel et Comte. Ils s'embrassent, s'enlacent, elle se sent seule, râle, attrape son premier souvenir, découvrant par la même occasion comment ils sont distribués. Choque, et BOOM, on repart ailleurs.
Bartolomeus et Comte l'ont suivi, cette fois. Eux, ils sont inquiets pour Gab' et Vodka. Cendrillon se coupe rudement la main, et en plus il paraît qu'il y a le feu au centre commercial ... Alors, on essaye de s'en sortir comme on peut, elle reçoit son second souvenir, et aperçoit quelqu'un courir vers l'intérieur. Dispute avec Bartolomeus, et on dégage, on se sépare de ce groupe.
Séparée de son groupe, Cendrillon va voir qui courrait. Là, elle trouve Opium, Calvetti, Novembre et Hécate. Enfin, Opium en état maladif, Calvetti normale, Novembre le grand-père et Hécate la grenouille, c'est un fait, mais quand même. Wesh aussi est là, en arrière-plan. Bref, y'a quelqu'un qui peut juste pas bouger, une querelle de cœur, allez vous faire f*utre, Calvetti embarque Cendrillon et Wesh pour aller dire bonjour à la Tour.
Voilà, fuck le couple en crise de divorce. Cendrillon trouve deux paires de lunettes pour le délire, suit Calvetti et Wesh. Alors qu'elle allait héroïquement se jeter à l'eau, elle se mangea un pont invisible et tout le monde se moqua. Ce pont leur permit de passer sans encombres jusqu'à ... Ce lieu ... La Tour ...
Le pont invisible la blessant, elle se fait aider par Wesh pour marcher. En entrant, Calvetti disparaît, happée par la ville au troisième étage. Ne reste plus que Cendrillon et Wesh, les deux autres (Superman et Mars) étant un peu trop loin pour interagir avec. Par un coup du sort, Cendrillon découvre que Wesh est sourd, et alors qu'elle allait -enfin- rejoindre les deux autres, surprise motherfucker, elle se prend une violente onde de choc. Pas dans le mur. Hors de la tour. Ailleurs.
Après cette terrible éjection, Cendrillon se retrouve au Mur, à l'Église, où elle trouve Août, partie intégrante de son passé ... Et ça se sent à leurs dialogues. Time for revelations !
Gabriel : Que dire sur Gabriel ... Premièrement, que sa tête me rappelle vaguement quelque chose. De désagréable. C'est difficile à expliquer, mais d'emblée, je ne l'aime pas. Cette opinion est venue se confirmer, par la suite. Parce que, quel connard ! Il ne pense qu'à draguer, et même quand il s'engueule avec moi & qu'il fait l'effort de tenter une trêve ... C'est pour me placer un compliment. Bon d'accord, il était bourré, mais il n'empêche que c'est mieux quand il n'est pas là.
Vodka : Lui n'était pas bourré, mais lui au moins n'était pas ... En fait, je sais pas. Si ça se trouve, en ayant été hétérosexuel il se serait jeté sur moi ? Qu'importe, il est gay, et tant mieux. Je l'aime plutôt bien, il a de la répartie et il manque de tact, ce qui fait qu'on peut se moquer de lui sans avoir l'impression de parler à un mur.
Bartolomeus : Les garçons sont tous aussi irritants, dans cette ville ? Ce n'est pas que je ne l'aime pas, mais à ses regards, on sait à quoi il pense en me regardant. Il compense en collant Comte comme une sangsue, mais on sait qu'il pense que je suis frigide et qu'il pourra rien tirer de moi. Merci l'estime. J'ai pas que ça à penser ici.
Comte : Cette fille me fait sourire. Parce qu'elle est mignonne, parce qu'envers et contre tout elle continue de croire qu'elle n'est qu'un rat parmi les humains. Parce qu'il n'y a pas mieux qu'elle parmi les quatre autres pour être de sang royal, tant elle redouble de courage, de détermination. A la voir, elle ne doit même pas être majeure ... Est-ce que je serais pas en train de l'admirer ? J'en sais rien ... Je crois bien que si.
Wesh ! : C'est tellement dur de le décrire. Déjà, parce qu'il était sourd quand je l'ai rencontré, il a simplement pas dit un mot. On aurait pu le croire muet, mais il réagissait pas à ce qu'on lui disait, alors ce devait être la surdité. Mais j'ai eu un duel du regard avec cette grande brute d'apparence, et il est pas si méchant qu'on veut le croire. Seulement son vocabulaire qui laisse à penser qu'il pourrait vous démolir la gueule pour un grec.
Calvetti : Notre entrevue fut courte, il faut l'avouer. Cependant, son froid et son calme me rassurent, j'aime bien ces gens-là. Elle sait ce qu'elle fait, ou elle fait ce qu'elle peut pour le savoir, elle prend des directives, agit simplement, sans détour. C'est une femme de caractère, elle aurait bien œuvré dans la police ou je ne sais quelle force armée. Je lui donnerais bien la Médaille de l'autorité et du Leadership, si j'en avais une pour elle.
Août : Ce type est froid. Ce type est calme. Ce type est dangereux. On le sent juste en le regardant. Pourtant, ce type m'attire, comme ce type m'a attiré dans mon passé. Je crois que je tombe sous son charme, encore. J'aime ce genre de personnes, je suis sûre de jamais m'ennuyer avec. Et puis, je suis aussi sûre qu'il en a dans le pantalon, si je fais ma tête brûlée, comme d'habitude, je suis certain qu'il me suivra, et ce quoi que je fasse, où que j'aille. Tant que c'est pas totalement stupide. Et merde ...
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Dernière édition par Cendrillon le Mer 17 Juil - 10:38, édité 5 fois (Raison : MàJ 17/07/2*13)
« Poissirène caractérielle » Cendrillon
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Sujet: Il manquait bien quelque chose non ? Lun 27 Mai - 11:03
Elle se force à calmer sa respiration, tout se passera bien, tout se passera très bien. Elle sait qu'elle peut gagner cette médaille. Ce qu'elle ne sait pas, c'est si elle en a réellement envie. Nouvelle inspiration, on les fait avancer d'une rangée de chaises. Coup de sifflet. Nouvelle rangée. Elle se retrouve devant le plongeoir, sans plus aucune envie de retourner dans l'eau. Viendra t-il ? Leur plan est pour ce soir. Un voix résonne dans la foule, elle sourit. Coup de sifflet. Enfin, elle peut se jeter à l'eau.
Lentement, elle observait l'alcool se vider dans le lavabo, lui donnant une jolie couleur rougeoyante. Il faisait chaud, comme chaque jour depuis qu'ils étaient arrivés ici. Et son débardeur et son petit short de sport ne l'aidait pas vraiment à lutter contre la température infernale. Ses longues mèches pourpres venaient se coller à son dos, à son front et l'espace d'un bref instant, elle envisagea de couper dans cette masse. Quelques secondes plus tard, elle se trouvait déjà horrifiée par ses propres idées.
Quand elle en aura terminé avec ça, ils iront à la piscine, pas de discussion. Ils pourraient prendre un bain froid aussi... En duo.
Souriant amusé, elle saisit la dernière bouteille. De la vodka. Et commença, elle aussi, à la rependre. Dirigeant son regard vers l'horloge murale, la jeune fille s'étonna, ça ne faisait que cinq minutes qu'elle avait commencé à vider les bouteilles. Mais après tout, ce n'était pas non plus comme si leur appartement était une mine à alcool, ils n'étaient pas de gros buveurs. Et ne sont pas près de le devenir.
Un rire grave vint raisonner à son oreille et deux bras lui enserrèrent la taille. Malgré la chaleur, elle ne tenta pas de se défaire ou de s'écarter, au contraire elle s'appuya davantage et pouffa de rire devant le tableau qu'ils formaient. Lui contre elle et elle en train de vider de la vodka dans les canalisations.
« On me prendrait plus pour une alcoolique tentant une cure-maison, que pour une femme enceinte. C'est ridicule ! »
Elle court et la panique commence peu à peu à enfin se faire une place dans son esprit en ébullition. Elle hésite entre deux couloirs, fint par choisir celui de gauche, monte deux escaliers et tombe nez à nez avec la sortie de secours du bâtiment. Enfin. Son cauchemar va pouvoir s'arrêter. Elle pousse la porte, qui ne bouge pas, la panique revient aussi vite qu'elle s'en était allée. Elle frappe la porte, pousse plus fort, une fois, deux fois, trois fois, se jetant presque dessus avec toute sa rage et son désespoir.
« Putain, mais ouvre-toi ! »
Alors qu'une sueur froide vient la recouvrir, son esprit commence à lui hurler de juste faire demi-tour, de trouver une autre sortie. Il y a forcément une autre issue, mais elle a trop peur de retourner sur ses pas et de se retrouver nez à nez avec eux. Alors qu'un sanglot presque hystérique s'arrache à sa gorge, elle repense à son portable, explosé sur le sol, deux étages plus bas. Elle ne peut même pas l'appeler, lui.
Soudain, une drôle d'odeur lui monte au nez et elle sent ses yeux commencer à s'irriter. C'est avec horreur qu'elle plaque une main contre son nez et réalise ce qu'ils sont en train de faire. Mettre le feu au bâtiment et ne lui laisser que deux choix: Sortir de son propre chef ou dans un sac plastique direction la morgue.
La chaleur est étouffante, le bruit assourdissant et elle se sent bien. Elle sent son corps bouger, se déchaîner au son de la musique. Elle n'a besoin de s'inquiéter de rien ce soir. Juste elle et la piste de danse. Même les gros lourds, qui hantent les boîtes de nuits et semblent d'habitude la harceler, semblent jouer aux abonnés absents.
Plus loin, elle aperçoit un groupe et manque d'éclater de rire. Des gamins semblent avoir réussi à rentrer illégalement dans l'établissement, fausses cartes ou mec à l'entrée qui s'en fout. Allez savoir.
Mais toute personne du bon âge, qui se respecte, est immédiatement capable de les repérer. Les vêtements, les regards autour d'eux, l'attitude tendue ou trop prétentieuse. Ce petit groupe à l'air de se la jouer en tout cas. Regardez-moi tous ces jeunes coqs stupides, qui roulent des muscles comme des crétins. Elle éclate de rire à nouveau et s'avance vers le plus à l'écart, un p'tit rouquin aux airs de nanas.
Trop de bruit, alors elle sort son portable et tape un message pour le brandir sous le nez de l'adolescent.
« Bah alors gamine ? Tu t'es trompée d'endroit, la piscine à balles et le rayon couches, c'est plus loin. »
Dernière édition par Cendrillon le Lun 15 Juil - 17:18, édité 4 fois (Raison : MISE À JOUR 15/07)
« Poissirène caractérielle » Cendrillon
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Sujet: Re: Cendrillon à travers les âges. Mer 17 Juil - 12:45
GESTION
DU TEMPS ❥
Arrivée quand ?
8h-10h
Progression ?
8h-10h 10h-12h 12h-14h 14h-16h
Heures restantes ?
Tranches jouées: 8h Souvenirs: 3 de jour, 0 de nuit = +6h
Résultat des comptes: Temps restant: 70h.
Ce code appartient à Nulle Part
GESTION DE
SON HISTOIRE
Objets de base:
Un pince-nez
Un portable
Un petit couteau
Des patchs pour arrêter de fumer
Des chewing-gum au pamplemousse (reste 2)
Un bon de commande pour un livre. Lequel ? "Cendrillon et autre contes de fées"
Un pendentif en or blanc en forme de parapluie.
Trouvés au cours de l'aventure:
Une paire de lunettes de vue
Des lunettes de soleil
Des biscuits (consommés)
Découvertes ?
La Ville est vivante, et c'est une connasse.
La Ville peut gérer votre emplacement dans l'espace, mais uniquement, pas dans le temps.
La Ville peut aussi influer sur le climat ambiant.
La Ville distribue notre passé sous forme de sphères lumineuses.