« Grand Méchant Loup »
Hadès
Messages : 49 Date d'inscription : 23/05/2013 Age : 39
Feuille de personnage Temps restant: (72/72) Dans ses poches: Rencontres/Découvertes: | Sujet: Hadès -Restons sobre- Jeu 23 Mai - 20:20 | |
| Hadès – Entre 20 et 30 ans Un loup solitaire peut encore mordre... Fiche © neb art 2012
Caractère
C'est étrange. Je n'arrive pas à me souvenir de ton nom, ton visage... Sommes-nous fiancés ? Parentés ? Amis ? Je ne sais plus. Pourtant, j'ai l'impression d'avoir tout perdu, car je ne t'ai plus...
Depuis, je tombe.
Son cœur bouillonne, déchiré entre deux réalités qu'il respire. Il y a Lui d'avant. Il se vit comme quelqu'un de calme, terriblement sérieux et réfléchit, quoi qu'explosif parfois. Une bombe à retardement qui peut sauter à un souffle de vent, comme rester stoïque à une tornade. Il sait qu'il n'est pas personne qu'on s'amuse à embêter, que sans quoi, les conséquences peuvent être graves. Il en a les moyens. En avait les moyens... ? Il ne sait plus, mais c'est normal pour lui d'agir comme ça, comme quelqu'un de menaçant quand on le cherche un peu trop. Pour autant, si on le laisse tranquille, il peut se montrer... normal. Avoir une conversation. Mais alors, ses silences sont presque trop nombreux, il choisit bien ce à quoi il veut répondre. Ses paroles sont alors d'une sincérités trop vexantes. Ses traits d'esprits presque malsains. Peut-être le silence vaut-il mieux. Il est taciturne et parle peu, mais parle bien. Il sait se faire obéir, il sait quand un regard expressif suffit mieux que des mots. Il sait réfléchir et penser, souvent, mais son air indéchiffrable fait qu'on ne sait pas très bien. Il est un peu dur à suivre. Il est calculateur et pourtant, il y a ces fois, où lui-même dit qu'il vaut mieux agir que réfléchir. Alors, il agit. Il regrette, aussi, aurait envie de refaire le monde avec des Si. Il n'a pas de douceur, pas de gentillesse cachée. Il semble ne pas avoir de sentiment, parfois, à énumérer simplement des choses blessantes, à menacer la vie, la faisant osciller comme un jouet entre ses doigts. On le pense insensible. Peut-être l'est-il. Il sait qu'une vie, c'est bien fragile. Pour les autres. Comme pour lui. Il est entier, sûr de lui, intraitable et sans pitié. Il se fout des conventions, de la veuve et l'orphelin à protéger. Il veut se protéger.
Il est violence. Dans les actes, dans les paroles, violence pour les autres, violence pour lui. Il n'hésite pas à menacer et s'il y a une chose qui le retient de tirer, d'abattre ou de tuer gratuitement, c'est peut-être qu'il n'aime pas l'inutile. Et peut-être qu'il pense quelque part, que quelqu'un, peut-être, se retrouverait perdu, soudain, à une vie arrachée. Comme lui. Une simple vie... On pourrait croire alors que l'homme se sent supérieur, une espèce d'ange de la mort qui choisit qui vit et qui ne vit pas. Ce n'est pourtant pas le cas. Il place sa vie au même niveau que celle des autres, considérant qu'une fois qu'on entre dans le petit jeu de la mort, c'est corps et âme. Mais il doit rester en vie. Il fait tout pour. Alors, le trouve-t-on égoïste.
Car il a aussi cette autre réalité. Celle dans laquelle il plonge quand il sent son souvenir trop l'envahir. Il tombe et il est perdu. Il l'a perdue... et ne l’accepte pas. Il refuse cette réalité et se met à la chercher, comme un forcené, il devient feu et colère, il sent chacun de ses muscles qui se crispent et toute son âme qui refuse la mort. Car il doit avancer -courir ! - pour la retrouver car tant qu'il ne l'aura pas vue, tant qu'il ne saura pas pour de bon, il refusera de croire. Et il s'agite, il violente, son âme hurle jusqu'à épuisement. Il refuse d'entendre, refuse d'écouter, perd toute prudence, tout discernement. Il se foutra de tout, des autres, de lui ! Entre dans une danse macabre avec la folie, chaque petit pas le conduisant dans une fragile santé, il se perd et se désespère. Il est alors dangereux, pour les autres comme pour lui. Car si elle n'est vraiment plus là, alors, les responsables le paieront. Le monde le paiera.
Il est pourtant sensé. Il a pourtant les pieds bien sur terre. Mais dans ces moments d'intense émotions, il se perd... Comme une larme qui s'écrase sur le sol, il se brise.
-Il a des connaissances particulière en diplomatie, arme à feu et en contrebande.
| | | | | Physique
Regarde, le vois-tu ? Difficile de ne pas le remarquer, il est grand, approchant du mètre quatre-vingts dix. Grand et fin, on remarque une musculature sèche mais développée sous ses vêtements. Il sait courir, il sait frapper, il sait porter, on ne doute pas une seconde de son côté athlétique et bien entretenu, ses épaules larges en atteste. Il se tient bien, bien droit, ses mouvements sont sûrs et assurés, il est agile, il est adroit. Peut-être pas à faire des cabrioles, souple comme une planche de bois, mais ça tombe bien, ce n'est pas trop son genre. Il est propre, il semble plutôt faire attention à son apparence, à sa tenue, à ses gestes fluides. Ça semble naturel, pour lui. Il est blanc, une peau fraîche et forte, pourtant fine, qui contraste avec le sombre qu'il dégage.
Il a de longues jambes, de longs bras musculeux qui finissent en deux mains à la manucure parfaite, des doigts fins et noueux, un peu calleux à subir certain exercices, et pourtant douces. Il est capable d'être fin et délicat, avec ses mains. Mais ça, il le montre peu, il n'aime pas quand on lui impose un contact. Il aime imposer les contacts. Il est capable de précision, de minutie et ça le gène de montrer une part de délicatesse dans son être.
Son visage est allongé, posé en haut d'un coup gracile et dégagé, sa peau fine suivant les arrêtes de son crâne. Une mâchoire coupée à la serpe, sculpté avec pourtant une certaine élégance, un mentons fin, des pommettes saillantes, des joues un peu creuses, un teint un peu cireux. Nez droit et fins, un peu long et pointu, juste en dessous d'une paire d'yeux d'un gris acier, clairs, enfoncés dans leurs orbites qui finalement, lui donnent un air sombre. De longs cils noirs viennent encadrer et renforcer le clairs de ses pupilles, sa froideur aussi. Ses sourcils sont tout aussi sombres, souvent froncés ; il a un air sévère et autoritaire, que ses cheveux ne viennent qu'à peine cacher. Ces derniers sont d'un noir profond, presque sans reflet, épais, courts et coiffés après une bataille qu'ils semblent avoir gagné sur le peigne. Puis il y a sa bouche. Des lèvres fines et sèches qu'un peu de contrariété fait disparaître au profit d'une simple ligne tendue. Il sourit peu, son visage est toujours sec et sombre. Et quand ses lèvres s'étire en une grimace souriante, c'est du sadisme qu'on peut parfois voir, ou une note d'un plaisir malsain. Finalement, on n'aime pas trop le voir sourire. A-t-il eut un jour un sourire avenant ? Il ne s'en souvient plus, à son grand malheur. Ses yeux reflètent la tension permanente qu'il a toujours en lui, son sérieux, sa culpabilité et cette petite étincelle de folie qui jaillit, de temps à autre.
Et il y a ce petit quelque chose. Sa bonne tenue, cette aura sombre qu'il dégage, ce regard sombre tantôt furieux, tantôt insensible... Est-ce que c'est tout, ou rien à la fois ? Ou bien est-ce sa voix, lourde et grave, aux tonalités un peu rauque, presque chantante pourtant ? Qui sait... Quoi qu'il en soit, quand il parle, on l'écoute. Quand il agit, on surveille. Quand il menace, on se tasse. Car quelque chose, en lui, indéfinissable peut-être, séduit, influence, fascine. Quelque chose qui fait de lui un ex-leader, même s'il souhaite maintenant, être un loup solitaire. Alors on se méfie, autant qu'on suit. Quelque chose qui dit qu'il ne fait pas bon de l'avoir en ennemis.
Et encore moins en ami.
Il est toujours couverts, de la tête aux pied. Des chaussures noires et cirées, un costume trois pièces, composé d'un pantalons noir, d'une veste noire, une chemise blanche, une cravate noire. Il ressemble à un professionnel qui va travailler, dans ses vêtements parfaitement taillés. Pourtant, par dessus, un blouson épais avec une capuche, d'un gris sombre, lui donne un air peut-être un peu plus décontracté. Une allure générale de « je-m'en-foutiste », détaché de tout ce qui l'entoure enlève toute impression de rigueur.
Un petit peu là, parfaitement insaisissable.
- Dans ses poches, il y avait entre autre : beaucoup d'argent en billets, un flingue, de la drogue dans un sachet, un téléphone portable, un morceau de papier avec des inscriptions en russe "Мы собираемся убивать вас", une alliance féminine.
-L'homme a un petit quelque chose de charismatique, séduisant... sans qu'on puisse vraiment l'expliquer.
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La Quête de l'Identité
Le Joueur dans tout ça
✿ Votre PUF → Le même que pour mes deux autres comptes ! (Trois comptes... c'est pas raisonnable, ça ! ) ✿ Comment avez vous découvert le forum ? → Par moi même : je me suis dit que c'était cool, et en effet, j'avais raison ! ✿ Qu'en pensez-vous ? → Trois comptes. Ça suffit pas pour répondre ? ✿ Quel est votre objectif en tant que joueur : Qu’est-ce qui vous intéresse le plus dans le jeu ? La Quête de l’Identité ? La découverte de la Ville ? La traque des Ombres ? → L'identité du petit Hadès !
© neb art 2012 |
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« Princesse mutante, suicidaire et maniaco-dépressive »
Luna
Messages : 1916 Date d'inscription : 19/08/2012 Age : 30 Localisation : Lyon
Feuille de personnage Temps restant: (18/72) Dans ses poches: Rencontres/Découvertes: | Sujet: Re: Hadès -Restons sobre- Sam 25 Mai - 17:54 | |
| Muhuhu, je valide ! On est deux sur ton histoire, Janvier et moi, hésite pas à faire appel à nous si tu as des questions ou si tu es en manque de souvenirs ! (mais après le bac, hein 8D) Sinon, tu arrive en tranche horaire 10h-12h, avec tout le monde ! Voilà ton synopsis : - Citation :
- Le cuir froid de la banquette est désagréable. Tellement désagréable que tu exploserai bien cette fichue banquette. Cette rage en toi, elle t'étonne un peu. Peut-être parce que rien ne l'explique. Tu viens de te réveiller, et plus important, tu n'as aucun souvenir. Alors, d'où te vient-elle, cette rage, inexplicable ? Est-ce a cause de cette impuissance à te rappeler même de ton propre prénom ? Non, il n'y a sans doute pas que ça... Alors c'est peut-être le constat que tu viens de faire ? Celui du temps qui défile inlassablement sur l'écran de ton téléphone portable. Car il est sans doute à toi, ce joujou qui affiche un décompte exaspérant de lenteur... Et au bout, que te réserve-t-Elle ?
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