« Guerrière tribale ensanglantée »
Ironie
Messages : 582 Date d'inscription : 12/01/2013 Age : 27 Localisation : Savoie
Feuille de personnage Temps restant: (68/72) Dans ses poches: Rencontres/Découvertes: | Sujet: Ironie. Ô ironie éraillée. Sam 16 Fév - 23:31 | |
| There Is Nothing Left What ?
Memories ♕ Souvenir n°1 Et la mémoire revient, cruelle ennemie de la Ville. Souffre, Ironie. Souffre ta vie une deuxième fois, car telle est Mon envie. - Spoiler:
Malaise. Elle se noie dans la perte, mélange les couleurs, repeint un monde où l'abîme béant de son âme ne masque plus le ciel orageux. Son esprit se tortille, divague, sombre dans des abysses plus sombres encore. Mais il lui faut continuer. Tête haute garder. Une main sur son dos, une chaîne d'acier qui enserre sa raison, la torture en d'immondes pensées ; douce liberté, où t'es-tu envolée ? Liberté spirituelle, imaginée, factice et erronée. Chute. Chute des idées, chute de l'âme, chute de l'espoir – idéaux envolés, rêves brisés, dur retour à la réalité. Cette main, qui la secoue, ce visage aux traits fins, ce front haut, en partie masqué par les mèches rebelles dont elle connaît la noirceur presque par cœur. Solitude qu'on lui enlève, solitude qu'on lui arrache. Elle veut s'éprendre de l'air éthéré, du vide de vie, du rien dans lequel elle se sent si sûre, si bien. Elle croît discerner le parc, la grande roue, les balançoires, le train fantôme, le palais des glaces – elle se pense reine sur le trône de cristal qui en orne l'enseigne, mais au final, qu'est-elle ? Un pion sur l'échiquier géant de la vie ? Un cœur battant, un être de chair, lâche et faible, une âme noble prisonnière de son enveloppe charnelle.
Elle croît son parc. Elle croît son trône. Jusqu'à ce que les secousses dans son corps se fassent plus fortes que son esprit.
« Hé, ça va ? T'as pas l'air dans ton assiette, t'es sûre que tu veux pas t'asseoir ? »
Son cou ondoie, sa tête pivote. « Non », fait sa gestuelle. « Oui », fait sa raison.
« Allez, viens, on va te changer les idées, un peu. C'est pas bon pour toi, tout ça. Tu devrais arrêter. »
Ton autoritaire, ton audacieux. Faiblesse unanime dans son corps et son âme, elle ne peut rien nier, rien changer, rien opposer à ce verdict sans appel. Elle se sent marcher, mais sa pensée est ailleurs, engourdie, illusionnée. Hallucinée. Amie l'arrête à l'entrée d'un parc.
« Je connais le Parc d'Attraction. J'y étais avant... Ça. - Et t'as réussi à revenir ? »
Sa tête s'abaisse. Elle est penaude, elle est défaite. Elle se sent échec. ♕ Souvenir n°2 Et la mémoire revient à Ironie, confuse larme de son passé. - Ironie:
Les lumières se brouillent, s'effacent. Elle est féline dans la nuit noire, panthère de marbre sous le ciel de cristal. Elle ondule, ses talons claquent sur le sol piétiné, rebelle. Son âme s'enivre du doux parfum du soir ; son esprit cueille vainement les fleurs du succès. Elle n'a plus rien, plus rien de tangible. Est-elle encore, après ce soir ? Peut-elle encore sentir ? Percevoir le monde sous ses prunelles obsidiennes ? Elle est bouillon fourbe et contenu, elle est vapeur. Vapeur instable et vagabonde, prête à pleuvoir sur lui. Sur celui qui de son mensonge a entraîné sa déchéance. Elle est princière, et elle vole sur l'asphalte. Glisse en face du bâtiment chic qu'elle quitte sans un regret.
Et il est là, appuyé, accoudé ; fumée opaque masquant sa mine. Elle grimace ostensiblement devant la petitesse de la qualité. Juge cigarette. Dédain devant infériorité, attentes déçues de la grandeur. Il ouvre la portière et elle monte à l'avant, côté passager. Mademoiselle se fait prier, ondoie, s'installe. Siège confortable ; carrosserie noire pour couple brun.
« Qu'est-ce qu'un mensonge ? » Ton philosophe, voix épurée, dénuée de volonté, mais pas de charme. Elle est grâce et puissance, elle est maîtresse et dominante. Elle impose. S'impose. Poursuit en vains reproches, se perd en babillages. « Après tout, qu'est-ce qu'une vie, qu'une confiance ? Un simple songe, un moment perdu, vain, inutile. Que serais-je sans toi, moi, moi l'ironie, moi la princière, moi qui ai tout sans pourtant rien désirer ? Sans toi je serai libre. Sans toi je suis libre. Je ne m'arrête pas de parler. J'en ai trop à dire, ou trop peu, c'est selon. J'oscille encore entre haine et passion. Et l'indifférente ironie mordra ta peau cruelle et orgueilleuse lorsque tu m'auras conduite en lieu sûr. Suis-moi, lâche-moi, perds-moi, envole-moi. Peu importe, je reste Moi. Ton mensonge n'est qu'une raison pour te faire accepter mon choix. Mensonge. »
Elle est d'amère et de froid, de saphir et d'émeraude. Dans son âme, elle étincelle, déçue. Le visage de l'indigne se crispe puis redevient de marbre. Ses iris grises tendent vers la route, vers le concret, vers le réel. Mais elle est dans l'Idée, dans la Grandeur. Dans la Vérité. Il ne l'écoute, elle ne le calcule. Ambiance est froide dans l'habitacle. Ambiance est sommeil dans sa tête.
Cou dodeline, yeux se plissent, paupières se closent. Sommeil la gagne, amical. Et avec ce fragment, deux petites heures, pour survivre et souffrir. ♕ Souvenir n°3 Les souvenirs ne se font pas prier pour regagner la mémoire de leurs propriétaires respectifs, les entrainant dans leur passé... - Ironie:
« Y'a pas mal de trucs dangereux en ville. »
Remarque lâchée. Indifférence, dans la nuit. Une leçon ? Que croit-il ? Elle, avertie, n’est pas naïve. Elle est panthère. Prédateur parmi les prédateurs. Silhouette, sans cesse disparue, reparue. Mystérieuse. Un mystère qu’elle entretient. Constance. Prend une cigarette. Fumée blanche sur fond nocturne. Plus de questions. Se contente de rester. Immobile. Qu’est-il lui ? Pauvre créature. Au fond du trou. Tout au fond. Regard en coin. Il fume aussi. N’est plus rien. Effacé sous la colère, sous la rage qui vibre dans l’air. Effacé comme une encre diluée. La scène repasse. Passé. Présent. Son futur. A lui. Regard qui monte vers le ciel. Noir comme la nuit. Pupilles d’encre. Étoiles. Rappellent que le monde est futile. Elle n’est pas. Ne sait pas si elle est. N’est rien. Pas ici. Telle une illusion, éphémère.
« Emiko »
Voix grave. Autoritaire. Insensible. Elle ne se retourne pas. Plus libre que la liberté. Sans chaines. L’autorité n’a d’effet. Elle est elle. S’appartient. A personne d’autre. Le vent souffle. Cheveux détachés. Un nom, mais qu’est-ce ? Sans importance. Elle n’est pas un nom. Elle est elle. Simplement. Et le vent se plie. Se plie à l’humaine, caresse son visage. L’enveloppe, rassurant.
« Emiko »
Volteface. Voile noir, tourbillon. Impudent, qui ose la défier. La déranger. La panthère feule. Grondement, qui se mêle à la musique de la ville, s’y confond. Étranger, accepté, intégré. « Taiga ? ». Mépris dansant dans sa voix. Il n’est pas rien. Il est moins que rien. Mais elle se courbe, fait semblant, s’adapte. Ses yeux plissent, regard incisif. Il ne recule pas. Dévisage la panthère. « On y va ». Il n’est qu’ordre. Elle sera donc désordre. Chaos dans l’harmonie. Lui emboite le pas, sans plus un regard sur l’encre diluée dans la fumée. Agile, elle quitte la nuit fauve pour se glisser dans la société. Plus féline encore.
♕ Souvenir n°4 Doucement, le passé refait surface. - Ironie:
« Je vais te dire, moi, Makura. Tu ne sais rien. Et tu sais quoi ? Saches que tu t'es bien mis dans la merde, mon gars. » Elle le fusille du regard, elle rebelle, elle insaisissable. Car dans la nuit de velours qui enveloppe les rues sombres et silencieuses, elle peut s'abaisser à râler. Engueuler. Vulgaire. Elle est la noble déchéance, et elle doit résoudre ses problèmes. Ceux de toute la famille. Ceux-là mêmes de son... Collègue. À cause de cet imbécile. « Écoute-moi bien, sale sous-merde. S'attacher n'est pas permis aux faibles. Alors tu oublies ton petit train-train de sale clodo branleur, et tu répares ta faute. » Même si l'autre est blasé, elle le voit peu à peu qui s'affaisse sous son regard d'obsidienne. Regard qui veut du mal. Regard qui déverse un venin noir et vengeur. Regard qui signifie T'es qu'une merde et tu le sais. Soumets-toi. Impériale, elle se fait reine de la nuit. Reine en carton devant l'ampleur du hasard. Soupire. Elle se détend, de nouveau maîtresse d'elle-même. L'a-t-elle jamais vraiment été ? Elle repense à Jordan. Non, elle n'était pas vraiment libre. Et puis elle n'en a plus que faire. Plus rien ne peut l'atteindre. Elle se croit invincible, mais elle est bien plus dangereuse. Redoutable et inattaquable. Quand on a tout perdu, quand on renie le monde, on devient intouchable. « Suis-moi. » Ton impétueux. Elle est sentence. Elle doit garder contenance pour ne pas être évincée. Rester dans la course. Et le type la suit, simple toutou à l'air blasé dans son ombre de soie. Au coin de la rue, Taiga l'attend. Toujours aussi blond et renfrogné. « Voilà. » Elle a joué son rôle, elle est médiatrice, elle est lien, elle est vitale. Et lui, va-t-il entrer dans la danse ? Va-t-il remplir sa part du contrat ? « Ouvre bien tes sales oreilles de merde, connard. » Il lui plaque la tête contre le mur en lui tirant les cheveux. Des cheveux d'une couleur assez spéciale. L'autre, plus grand, doit se courber sous la menace du blond. Elle entrevoit l'éclat de la lame, qu'il a placé sous son cou. « C'est bon, tu m'écoutes, là ? T'arrêtes ton petit numéro du blasé de service ? Alors tu vas ramper. Tu vas faire profil bas, et tu vas nous être utile. C'est la moindre des choses », susurre-t-il avec un sourire effrayant. Quand Taiga a des projets, généralement ils se réalisent. « Satisfait ? » Demande-t-elle, les bras croisés, pour signifier à son associé que maintenant, elle aussi a droit à un peu de reconnaissance. Et plus intéressant, à sa part. « C'est dans le coffre. » Sourire. Après, elle redeviendra noble et hypocrite. Mais pour cette nuit, elle veut rester la reine au trône perdu.
♕ Souvenir n°5 Et le souvenir pénètre leurs deux mémoires, les enrichissant de son flot d'émotions et de sensations... - Ironie:
Les rideaux rouges virevoltent autour d'eux. Tout danse. C'est le sol qui tourne, ce sont les tables qui les contournent. Eux, ils sont au centre du monde. Elle, surtout. Elle, hypnotisante, elle hypnotisée, peut-être. Pas encore. Presque. Elle résiste. L'obsidienne se fond dans la délicate couleur noisette. Ils s'observent, s'apprivoisent. C'est un gala dont ils sont maîtres, camouflés dans la pénombre du bord de la piste. Elle mène. Il suit. Elle suit. Il mène. Ils ondoient, serpents élégants parmi l'ignoble foule. Soudain il la serre contre lui, arrête la danse, casse le rythme. La musique s'est tue un instant. Le temps d'un regard, d'une passion grandissante, d'un battement de cœur. Il s'approche, la musique reprend, elle le force à danser. Retenir la fougue corrosive, retenir l'envie de céder. C'est ridicule. Tout cela est ridicule. Un type comme lui ? La musique meurt et ils s'embrassent. Elle a cédé. Pour la première fois. C'est étrange de ne plus se sentir maîtresse de sa volonté. De ses désirs. Mais ce n'est qu'une danse. Ce n'est qu'une mascarade. Dans quelques minutes elle redeviendra panthère féroce en quête de sa proie. Peut-être. Elle ne sait pas. Son cœur vacille. Quand pourra-t-elle être libre à nouveau ? Point de vue externe : Une femme et un homme dansent, d'une façon à la fois légère et pleine de sensualité. Bruns tous les deux, ils ont l'air très proche. Lorsque la musique décroit puis s'arrête, il l'embrasse -ils s'embrassent- avant de se séparer, la laissant avec un air un étrangement pensif. ♕ Souvenir n°6 Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum ♕ Souvenir n°7 Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum
Exploration ♕ First day 02h-04hArrivée de la jeune femme. Femme qui s’éveille dans un wagon désert, et va à la rencontre de Cyanure et de Cheshire à la salle des machines. Chute de Cyanure à travers une trappe, qui leur fait découvrir le Parc d’Attraction souterrain. Ironie le suit directement suivit du vieux blond. Arrivés en bas, ils tombent sur une Bugatti Royale qui adopte Ironie. Comment cela s’est-il passé ? Mystère. Tous sont tombés dans les pommes et ont repris connaissance séparés les uns des autres. 06h-08hIronie ouvre paupières affalée sur la Bugatti Royale. Impossible de dire comment ni pourquoi. S’élevant, elle rencontre Joke, Janvier et Chlore. Petite confrontation, Ironie donne son gilet de crème à Janvier et alors que la jouxte verbale se poursuit, un souvenir fait don de présence. Ironie donc visionne son souvenir pendant que Janvier s'en va -en volant la veste crème d'Iro, je précise-. Débat entre Chlore et Joke d'assez mauvais genre, qui se solde par le départ magistral de la brune énergique. Notre demoiselle quand à elle reprend connaissance, et s'en va en compagnie de la belle rousse. Les deux demoiselles dialoguent et se rapprochent, développant une amitié instantanée. Montant dans la Grande Roue, elles s'y retrouvent piégées ; découvrant par la même occasion le misérable cadavre de Cyanure. Chlore prend la brune dans ses bras, compatissante. Quand à la demoiselle en question, elle ne tarde pas à se relever. Quand finira-t-elle pas véritablement craquer ? Sur cette question, elle saute du manège infernal sous les yeux des arrivistes, Sugar et Loki. Chlore saute à sa suite, désespérée. Sugar réceptionne Ironie, par pur réflexe, mais de sa chute, la brune lui déplace l'épaule. Loki quand à lui sauve Chlore dans de meilleures conditions. Emplie de remords, Ironie ne peut qu'aller chercher Chlore, s'accrochant désespérément à ce seul lien. La rousse compréhensive s'en va remettre l'épaule de Sugar. Épaule remise, Loki sermonne le monde et l'univers, parlant d'un anglais saccadé -mais fluide ?- et accusateur. Ironie, remise de ses émotions, le claque et donnant son nom à Sugar, d'un sourire pour ses deux compagnons, s'en va à la recherche de sa Bugatti. Sugar ayant suivi notre brune, ils se retrouvent tous deux devant la somptueuse voiture. Des mots s'échangent, doux, amers, piquants. Ils s'installent dans la voiture et peu après, Ironie laisse éclater sa révolte, froide et contrôlée. Sur ce long monologue, elle laisse Sugar aux bras de Morphée alors qu'elle touche un souvenir. 10h-12hRéveil d'Ironie. La voiture ayant déjà bien roulé, elle reprend les commandes du véhicule pour se garer aux abords du commissariat. Subtilisant la lampe de poche à son partenaire, toujours endormi, la brune s'éclipse. Dans le bâtiment, elle ne tarde pas à découvrir la salle d'armes, dans laquelle se trouvent Calvetti et Chancelier. Les saluant avec une réplique moqueuse mais pas venimeuse, elle s'arme de deux flingues et de deux holsters, sans oublier les munitions et un couteau à cran. Sur cette dernière action, Sugar arrive, béat et complètement paumé suivit de Novembre alors que Chancelier part. La discussion se forme, froide, méfiante. Des souvenirs apparaissent, seul Sugar n'est pas concerné par l'arrivée des sphères. Ironie s'empare d'une paire de menottes et touche son souvenir. Après ça, le quatuor s'en va en voiture vers le Parking. 12h-14h.Arrivée au Parking, notre brune met les pieds dans le cadavre du meilleur ami à Novembre. Confrontation qui s'en suit par trois souvenirs. L'un pour Ironie, les autres pour Novembre et Calvetti. Souvenirs funestes car le groupe se dissout, Novembre partant avec la flic d'un côté, Ironie et Sugar d'un autre. La brune qui avant un réel départ du Centre Commercial passe par le Supermarché ou elle prend un sac à dos et des provisions. Je cite : Biscuits, eau, bière, t-shirt, chaussettes, désinfectants, deux bandes/compresses, brosse à dents, dentifrice et boites de conserves. Sur ce, elle déclare à Sugar que leur relation doit s'arrêter là et qu'ils doivent se séparer. Ils entrent en conflit, Ironie menotte la main gauche à Sugar, provocatrice, et ce dernier s'attache à notre brune. Le duo s'exaspère mutuellement, s'aime sans s'aimer. Au final, un feu se propage dans le Supermarché, et un souvenir apparaît pour le brun. La demoiselle bascule alors Sugar dans son souvenir et se mettant à courir, l'entraîne or des flammes. Elle bouscule au passage un étala et attrape à la volée une boite contenant diverses vitamines. Continuant sa course folle, Ironie arrive au Parking et pousse Sugar dans sa Bugatti. Une fois à l'abri, elle démarre en trombe et quitte ce lieu sinistre qu'est le Centre commercial. Arrivés aux Amphithéâtres vides, le duo explose, Ironie tire dans les menottes et s'en retourne pendant que derrière elle, Sugar est traîné vers d'autres aventures. Rencontre avec Matt à l'arrêt de bus. Il lui propose de danser la carioca, et narquoise, elle accepte. Février qui suivait Matt les rejoint et entame la bande-son. Après quelques péripéties dont la chute lamentable du blanc lors de la danse et un souvenir imprévu, le trio discute et décide de s'orienter vers la Bugatti d'Ironie, se trouvant un peu plus loin, au parc. Histoire de partir, toussa. 14h-16hSur le chemin, Février fait une feinte à notre brune, lui pique une arme, s'enfuit et va pour demander comment l'actionner lorsque... Ses pieds dérapent. La balle part, elle se retrouve affalée à terre, dans des gerbes de sang, le sol s'imbibant peu à peu. Les deux camarades passent outre cette mort tout à fait imprévue et vont s'asseoir dans la voiture, discutant de tout, de rien. Ils décident sous le voeu d'Emiko d'aller à l'hôtel. Arrivant sur les lieux, guidés et conduits par la Royale Bugatti, ils entrent dans la chambre 969. La brune prend une douche et ... ♕ Second day Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. 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Dernière édition par Ironie le Jeu 29 Aoû - 22:58, édité 45 fois |
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