La Gare est vide. En y entrant, vous pouvez ressentir que personne n’y a pénétré depuis de nombreuses années. Une masse de poussière, charroyée par le vent, s’est accumulée sur le sol jonché de mauvaises herbes qui poussent à travers les dalles effrités. Chacun de vos pas provoque un écho sourd dans l’espace concave. La Gare est grande. Et le silence qui l’anime la rend oppressante. Il n’y a pas de guichet, ni de barrière. Les fenêtres encore intactes sont couvertes de crasses, les autres brisées laissent entrer des courants d’air. Une grande horloge vétuste est arrêtée. Elle indique éternellement huit heures. Vos pas vous mèneront peut être naturellement au quai qui se prolonge à l’air libre. Ou peut être préférerez vous vous livrer à l’exploration du lieu désert et vétuste.

16h-18h:
• Calvetti s'est vu offrir une carte par la Ville.